Aujourd’hui, il n’y a rien de plus urgent que le changement climatique. Depuis des années, le réseau Climat et Énergie (Climate and Energy Network) d’INEOS n’a eu de cesse de placer le développement durable en haut des priorités du géant de la chimie. Mais le groupe reconnaît qu’il a besoin du regard de ses responsables les plus jeunes pour traiter cette thématique. Pour s’assurer un avenir radieux, INEOS a formé un groupe de jeunes gens passionnés, qui croient fermement en INEOS pour jouer un rôle important dans la lutte contre le changement climatique. Découvrez yCEN.
L’ancienne First Lady Eleanor Roosevelt estimait que l’avenir appartenait à ceux qui croyaient en la beauté de leurs rêves. L’ancien président Barack Obama, lui, pensait qu’il appartenait aux jeunes avec de l’éducation et de l’imagination pour créer. Chez INEOS, on pense que les deux ont raison.
Aujourd’hui, le groupe donne réellement la parole à ses éléments les plus jeunes, pour regarder vers l’avenir. C’est une véritable chance pour eux d’avoir une réelle influence sur le fonctionnement de l’entreprise au-delà de 2025.
Le groupe yCEN, composé de membres qui ont tous moins de 35 ans, est dirigé par Matthias Schnellmann, 29 ans, titulaire d’un doctorat en génie chimique.
Leur mission consiste à trouver des réponses à des défis majeurs pour l'humanité.
Et cette perspective les enthousiasme.
« Il n’existe pas de solutions toutes faites et certains compromis devront être trouvés », explique Pieter-Jan Snoeck, coordinateur des performances et de l’énergie au sein d’INEOS Olefins & Polymers Europe, et membre de yCEN.
« Le meilleur moyen est de commencer par réfléchir, de bousculer les idées des uns et des autres et de trouver des solutions tangibles. Le temps est maintenant venu d’agir, car INEOS possède le meilleur matériel humain pour réussir. »
Greet Van Eetvelde, responsable internationale de l’énergie et de l’innovation, décrit la formation d’un groupe de jeunes au sein du réseau Climat et Énergie comme une « avancée extrêmement importante ».
« Il n’y a pas de solution à court terme pour les défis immenses qui nous attendent. Nous avons certes de l’expérience, mais c’est la jeune génération qui fera avancer INEOS. Nous devons donc être à l’écoute. Le futur d’INEOS commence maintenant, car nous qui faisons partie de l’ancienne génération, nous ne serons pas là pour prendre de plein fouet les conséquences du changement climatique. »
Matthias prédit un avenir brillant pour INEOS et, plus important encore, un avenir sur lequel il peut avoir une influence dès maintenant, à l’intérieur de la compagnie.
« C’est incroyablement exaltant pour moi de travailler avec un groupe de collègues motivés pour relever les défis immenses qui nous attendent.
Bien sûr, ça ne veut pas dire que ce sera facile
L’ampleur de la tâche et le peu de temps dont nous disposons pour trouver des solutions m’obligent à rester humble.
Mais en même temps, quand je vois les difficultés que l’humanité a réussi à surmonter dans son histoire, je reste optimiste. Je pense notamment au développement des vaccins contre la COVID-19. »
Il croit en INEOS, la société qu’il a rejoint en septembre 2019, après avoir fini son post-doctorat à l’université de Cambridge, au Royaume-Uni.
« L’industrie chimique sera un des piliers de notre transition vers un futur neutre en carbone. Elle y contribue déjà énormément, en fabriquant des produits essentiels aux technologies renouvelables et aux véhicules zéro émission » explique-t-il.
« Elle est indispensable à notre vie moderne. Bien souvent, les gens ne réalisent pas qu’il existe un lien étroit entre l’industrie chimique et tout ce qui les entoure : leur iPhone, leurs vêtements, leur carte bancaire ou même le dentifrice qu’ils étalent sur leur brosse à dents. »
En d’autres termes, sans cette industrie, la vie moderne serait rudimentaire et il nous manquerait la plupart des choses que nous considérons pourtant comme acquis.
INEOS, qui emploie 26 000 personnes dans le monde, fabrique des produits qui sont utiles.
Son plastique sert à emballer et préserver nos aliments et boissons.
Son PVC sert à conserver du sang plus longtemps.
Ses solvants sont utilisés pour fabriquer de l’insuline et des antibiotiques.
Son chlore sert à purifier 98 % de l’eau potable au Royaume-Uni.
Son acrylonitrile constitue la matière première essentielle pour les fibres de carbone, grâce auxquelles les avions et voitures sont plus légers et solides, et consomment moins de carburant.
« INEOS sait pertinemment qu’un changement est nécessaire, et ça ne lui fait pas peur. »
Au cours des 10 années, le groupe a travaillé dans l’ombre pour réussir à réduire son empreinte carbone, grâce à son réseau Climat et Énergie, qui alimente les débats sur tous les sites du groupe.
Lors de la dernière rencontre annuelle de trois jours, près de 130 personnes au sein du groupe – directeurs, PDG, responsables et experts du climat et des énergies – se sont réunies tous les jours pour découvrir ce que leurs collègues faisaient en matière de réduction des émissions de carbone, de transition vers des matières premières biologiques et recyclées, de réutilisation des déchets, d’émancipation des énergies fossiles et d’amélioration de l’efficacité énergétique.
Pendant ces trois jours, l’entreprise s’est concentrée sur des questions essentielles comme le climat et l’énergie, l’économie circulaire, où rien n’est gâché, ainsi que la fabrication de produits sûrs et durables, dont la société a besoin.
« Ce n’était pas seulement un atelier de discussion » précise Greet. « Nous adoptons une approche orientée business afin d’identifier des opportunités pour INEOS, dans cette économie de transition ».
Cette réunion annuelle a aussi vu le lancement d’une nouvelle initiative, yCEN, qui sera gérée par la jeune génération. Celle dont le futur dépend des décisions qui sont prises aujourd’hui.
Le leader du groupe, Matthias, a déjà beaucoup de jeunes partisans passionnés derrière lui, dont le nombre ne cesse de croître.
« Passer à une économie neutre en carbone est essentiel et nous devons passer la vitesse supérieure pour y arriver. Toutefois, il faut que cette transition soit faisable d’un point de vue technique, financier et social. »
« Nous ne pouvons pas modifier les lois de la physique et il y a des limites à ce qu’on peut faire, pour accélérer le déploiement d’énergies renouvelables. Les entreprises devront investir dans de nouvelles technologies, mais pour cela, il faut qu’elles puissent rester rentables. »
L’UE souhaite que d’ici 2050, la quantité de gaz à effet de serre retirée de l’atmosphère soit la même que celle émise.
Pour Matthias, être en première ligne de l’action menée par INEOS dans cette transition est exaltant.
« Je pense que des opportunités se présenteront naturellement là où nous pourrons apporter des contributions significatives, notamment dans une organisation comme INEOS, dont le succès repose sur le challenge, la recherche de nouvelles possibilités et la capacité de donner à son personnel la marge de manœuvre et les responsabilités nécessaires pour obtenir des résultats », a-t-il déclaré.