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INEOS construit des usines en 10 jours

Pour soutenir la lutte contre cette maladie, des désinfectants pour les mains seront livrés gratuitement aux hôpitaux
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2020

INEOS fabrique maintenant du désinfectant pour les mains à l’échelle industrielle afin de remédier à la pénurie critique qui sévit dans toute l’Europe. L’entreprise a construit de nouvelles usines à Newton Aycliffe au Royaume-Uni, à Herne en Allemagne,à Lavéra et Etain en France, et en Arkansas et Pennsylvanie aux Etats-Unis - chacune d’entre elles produisant en série un million de bouteilles par mois.

« NEOS possède des ressources et des compétences considérables », déclare son président Sir Jim Ratcliffe. « Si nous pouvons trouver d’autres moyens de soutenir la lutte contre le coronavirus, nous sommes totalement prêts à le faire. »

Les désinfectants pour les mains seront livrés gratuitement au NHS et aux hôpitaux pour aider à lutter contre le COVID-19.

Le public pourra acheter le produit de marque INEOS dans les pharmacies et les supermarchés.

INEOS, qui a construit chaque usine en moins de 10 jours, est le plus grand producteur d’Europe des deux principaux ingrédients du désinfectant pour les mains de qualité hospitalière. Ses sites de Grangemouth en Écosse, dans le nord de l’Allemagne et dans le sud de la France produisent normalement près d’un million de tonnes d’alcool isopropylique (IPA) et d’éthanol chaque année. Et l’entreprise a réorienté sa production vers les nouvelles usines de fabrication de désinfectant pour les mains.

Nous espérons que ces six usines, construites en un temps record, permettront de faire face à cette pénurie.

INEOS veut produire à la fois le format standard du désinfectant et la version « de poche » de plus en plus populaire.

Le COVID-19 est une maladie très contagieuse qui se propage principalement lorsque les personnes se touchent le visage avec les mains sales, en particulier la bouche, le nez et les yeux. Le désinfectant pour les mains peut éviter cette contamination.

Le site Internet du gel mains INEOS est désormais disponible pour prendre les commandes des hôpitaux, des chaînes de supermarchés et des grossistes nationaux: INEOSHANDGEL.COM

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INEOS construit des usines en 10 jours

INEOS fabrique maintenant du désinfectant pour les mains à l’échelle industrielle afin de remédier à la pénurie critique qui sévit dans toute l’Europe. L’entreprise a construit de nouvelles usines à Newton Aycliffe au Royaume-Uni, à Herne en Allemagne,à Lavéra et Etain en France, et en Arkansas et Pennsylvanie aux Etats-Unis - chacune d’entre elles produisant en série un million de bouteilles par mois. « NEOS possède des ressources et des compétences considérables », déclare son président Sir Jim Ratcliffe. « Si nous pouvons trouver d’autres moyens de soutenir la lutte contre le coronavirus, nous sommes totalement prêts à le faire. » Les désinfectants pour les mains seront livrés gratuitement au NHS et aux hôpitaux pour aider à lutter contre le COVID-19. Le public pourra acheter le produit de marque INEOS dans les pharmacies et les supermarchés. INEOS, qui a construit chaque usine en moins de 10 jours, est le plus grand producteur d’Europe des deux principaux ingrédients du désinfectant pour les mains de qualité hospitalière. Ses sites de Grangemouth en Écosse, dans le nord de l’Allemagne et dans le sud de la France produisent normalement près d’un million de tonnes d’alcool isopropylique (IPA) et d’éthanol chaque année. Et l’entreprise a réorienté sa production vers les nouvelles usines de fabrication de désinfectant pour les mains. Nous espérons que ces six usines, construites en un temps record, permettront de faire face à cette pénurie. INEOS veut produire à la fois le format standard du désinfectant et la version « de poche » de plus en plus populaire. Le COVID-19 est une maladie très contagieuse qui se propage principalement lorsque les personnes se touchent le visage avec les mains sales, en particulier la bouche, le nez et les yeux. Le désinfectant pour les mains peut éviter cette contamination. Le site Internet du gel mains INEOS est désormais disponible pour prendre les commandes des hôpitaux, des chaînes de supermarchés et des grossistes nationaux: INEOSHANDGEL.COM

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La livraison des marchandises

La livraison gratuite dans les hôpitaux européens de millions de bouteilles du nouveau désinfectant pour les mains d’INEOS a commencé. En Angleterre, l’hôpital Warrington & Halton a été le premier établissement britannique à recevoir 450 litres pour protéger ses employés de première ligne contre le COVID-19. « Les fabricants britanniques ont répondu présents pour nous aider à lutter contre le coronavirus, et c'est vraiment fantastique », a déclaré l’infirmier chef-adjoint John Goodenough. Lancé par le président Sir Jim Ratcliffe, le projet de désinfectant pour les mains d’INEOS a demandé l’aide de Sir Dave Brailsford et de son équipe de cyclistes vainqueurs du Tour de France. Selon Sir Jim, « cette initiative majeure a rassemblé le meilleur de toute l’entreprise INEOS et de ses équipes dans une course contre la montre ». En tant que chef d’équipe de la Team INEOS, Sir Dave a surtout l’habitude de gérer la meilleure équipe de cyclisme du monde. Son équipe logistique déplace efficacement à travers le monde de grandes quantités d’équipement et de fournitures de cyclisme ainsi que les équipes de soutien. Maintenant, Dave et son équipe sont en liaison directe avec les centres régionaux et les hôpitaux du NHS en Europe pour coordonner les expéditions vers les établissements les plus démunis. « En général, ce sont les vedettes du sport que les gens viennent admirer et soutenir », explique-t-il. « Mais les choses ont changé. En ce moment, ce sont les professionnels de santé et le personnel hospitalier de première ligne que tout le monde admire. Aujourd'hui, les fans, c'est nous. » En étroite collaboration avec les centres régionaux du NHS, le désinfectant pour les mains d’INEOS sera livré dans 28 hôpitaux du Royaume-Uni, y compris à Grangemouth, Halton, Teesside, Derby et Londres. Une distribution plus étendue suivra lorsque l’usine de production de Newton Aycliffe dans le nord-est de l’Angleterre tournera à plein régime. De plus, des usines similaires à Herne en Allemagne et à Lavéra en France livrent gratuitement des fournitures essentielles, directement aux hôpitaux. Les trois usines ont été construites en moins de 10 jours. Une quatrième, à Étain en France, va très bientôt lancer sa production. En premier lieu, INEOS cherche à satisfaire la demande des services médicaux de première ligne avant de fournir au grand public du désinfectant pour les mains au format poche. Tous les gels mains seront fabriqués selon les spécifications de l’Organisation mondiale de la santé. La contamination de la main à la bouche est l’une des principales voies de transmission du virus, et le désinfectant pour les mains fait cruellement défaut au Royaume-Uni et en Europe continentale. « Nous savions qu’il était primordial d’agir vite pour remédier à cette pénurie », explique Sir Jim. « Cela étant dit, lancer la production du désinfectant pour les mains en seulement 10 jours a demandé un effort collectif colossal et la Team INEOS, dirigée par Sir Dave Brailsford, a apporté une contribution considérable, avec le soutien de la grande famille INEOS. » INEOS fabrique les produits chimiques utilisés dans les antibiotiques, le paracétamol, les anti-inflammatoires, les antiviraux et l’aspirine, ainsi que les produits chimiques des réactifs utilisés dans les kits de test. L’entreprise fabrique également les plastiques nécessaires aux équipements médicaux, aux masques faciaux, aux gants stériles et aux visières de protection. Et la liste est très longue. Selon le département de la sécurité intérieure des États-Unis, la plupart de ces produits sont « critiques pour la résilience nationale », de l'hygiène de base jusqu’à la recherche du vaccin. Ce dernier projet associe le savoir-faire d’INEOS en ingénierie, en production chimique et en sécurité, à l’expertise logistique de la Team INEOS. « Si nous pouvons trouver d’autres moyens d’aider à combattre le coronavirus, nous sommes tout à fait prêts à le faire », affirme Sir Jim.  WWW.INEOSHANDGEL.COM

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Trois des meilleures équipes de course du monde unissent leurs forces pour devenir imbattables

Les brillants esprits du challenger britannique d’INEOS pour la Coupe de l’Amérique, la TEAM INEOS et l’équipe de F1 de Mercedes, travaillent désormais ensemble pour devenir imbattables. Le cran et la détermination de Mercedes à redéfinir les limites de l’être humain sont les facteurs qui ont incité INEOS à signer ce partenariat technique. Quant à l’équipe Mercedes-AMG Petronas F1, elle apprécie le dynamisme et l’inventivité d’INEOS. « L’ambition et l’esprit de compétition sont notre trait d’union », explique Toto Wolff, directeur d’équipe et PDG de l’équipe Mercedes-AMG Petronas F1. « Le potentiel de cet accord est incroyable. » On trouve au cœur de ces trois équipes la passion de conduire, de naviguer et de pédaler plus vite que tout le monde. Et le travail a déjà commencé. Dix-huit ingénieurs techniques de la division des sciences appliquées de Mercedes travaillent désormais à plein temps au siège social de l’INEOS TEAM UK à Portsmouth pour l’aider à construire un bateau de course et à gagner la Coupe de l’Amérique l’année prochaine pour la première fois en 170 ans d’histoire de cette compétition. Ils associent leurs expertises et montrent qu’ils travaillent presque aussi vite en coulisses que sur les circuits. « La rapidité de développement est incroyable pour les meilleures équipes », affirme Graham Miller, qui dirige le partenariat chez Mercedes. « La capacité à accélérer les développements est l’un de nos atouts. » À Brackley, Mercedes possède des capacités de fabrication considérables, certains des outils les plus sophistiqués du monde et le savoir-faire unique permettant à 170 aérodynamiciens de travailler autour d’une voiture de 4,8 m x 1,5 m. « La rapidité de développement est l’avantage dont l’équipe profite », précise Graham. « C’est partiellement une question de réaction, si l’équipe est confrontée à des problèmes, mais également une question d’action préalable et de développement planifié. » L’équipe de Mercedes s’occupera de l’aérodynamisme, de la simulation et de la planification, de la précision et des procédés nécessaires, depuis le concept jusqu’à la fabrication en passant par la conception. « Même si vous avez le meilleur design au monde entre les mains, si vous n'avez pas assez de temps pour assurer la qualité de la fabrication, vous n'irez pas bien loin », affirme Graham. « Vous devez trouver l’équilibre entre le moment où ce concept doit passer à la phase de conception détaillée et le moment où cette conception détaillée doit passer au stade de la fabrication, puis de la fabrication à l’assemblage. » À la fin de l’année dernière, l’équipe de la Coupe de l’Amérique a lancé son premier bateau de course AC75, un monocoque à foils qui semble voler sur l'eau. « En fait, notre bateau ne devrait pas prendre la mer car c’est un immeuble de 10 étages voguant sur une table basse », explique Sir Jim Ratcliffe, le président d’INEOS. Selon lui, ce fut un vrai défi technique. Selon Graham, son équipe de Mercedes pourra en tirer de précieux enseignements. « En Formule 1, on cherche toujours à minimiser le poids et à optimiser la rigidité », précise-t-il. « Mais les charges hydrodynamiques sont simplement énormes dans le bateau. Le simple fait de participer à la conception dans cet environnement, où les charges sont si extrêmes, nous sera potentiellement utile à l’avenir, lorsque nous travaillerons avec de nouvelles matières. » Un deuxième bateau de course sera lancé cette année. Ce bateau sera le plus technique jamais construit, avec 30 000 composants selon les estimations fonctionnant en parfaite symétrie pour permettre à ce bateau de 23 m et à son équipage de 11 hommes de voler pendant la course. La passerelle existe déjà entre l’aviation et la F1. « Nous décrivons parfois nos voitures comme des avions volant à basse altitude », explique Graham. Selon lui, la simulation sera fondamentale pour que l’équipage britannique teste ce qui fonctionne et apprenne au final comment faire naviguer, ou plutôt voler, ce bateau. « Cette plate-forme n’a jamais navigué auparavant. La simulation est donc un outil de développement critique », affirme Graham. « Plus ils utilisent le simulateur et le développent, plus les performances pourront évoluer sur l’eau et plus le bateau pourra accélérer. » Pendant des années, les équipes de F1 se sont concentrées sur l’aérodynamisme pour améliorer l’efficacité et la performance. « Une voiture de Formule 1 de 2004 semble préhistorique par rapport aux voitures modernes d’aujourd’hui », explique Graham. Au fil des années, les changements ont pris la forme de développements microscopiques et minutieux. « Étant donné que nos ressources ont toujours été limitées, nous avons eu tendance à nous concentrer sur les plus gros composants, pour apprendre à mieux les manipuler », explique Nick Holroyd, le concepteur en chef de l’équipe INEOS TEAM UK. « Mercedes nous a permis, à la fois par ses ressources et son état d’esprit, d’approfondir au maximum les choses, nous permettant de comprendre le moindre détail pour en retirer des avantages considérables. » Même si l’équipe de la Coupe de l’Amérique reste le point central, Mercedes travaillera également avec la TEAM INEOS, anciennement nommée TEAM SKY, qui domine le Tour de France depuis des années. « Nous sommes impatients de commencer », affirme Sir Dave Brailsford, le chef d’équipe. « Nous avons tout à gagner de ce partenariat, qui nous aidera à devancer une concurrence toujours plus rude : notre détermination est sans faille. » Entretemps, Sir Ben Ainslie qui sera le skipper du monocoque de 23 m pendant la Coupe de l’Amérique l’année prochaine a déclaré que l’implication de Mercedes avait clairement stimulé son équipe. « Le niveau de synergie entre tous les sports, la Formule 1, le cyclisme et la Coupe de l’Amérique, est tout bonnement incroyable », affirme-t-il. « C’est un mélange fascinant qui permet de repousser les frontières de l’innovation technique et de la prouesse sportive. » Mais jusqu’ici, l’évolution des règles de cette course, d’une coupe à l’autre, est l’aspect le plus surprenant pour Graham. « Une année, l’équipage peut utiliser un catamaran, et la suivante un monocoque de 23 m », précise-t-il. « Les règles peuvent énormément changer en F1, mais au final, vous avez toujours quatre roues, un aileron avant et un aileron arrière. Ce serait comme si on passait d’une moto à une voiture, puis à un camion. »

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INEOS devient le partenaire principal de l’équipe de Formule 1

LA MEILLEURE équipe de Formule 1 du monde accueille également un nouveau partenaire au volant. INEOS sponsorise désormais l’équipe Mercedes-AMG Petronas F1. Le Président et fondateur d'INEOS, Sir Jim Ratcliffe, a déclaré qu’il s’agissait d’une société d’ingénierie formidable. « Ils montrent qu’ils sont constamment à la pointe de l’innovation technologique et de la performance humaine », affirme-t-il. Challenger britannique de la 36ème Coupe de l’Amérique, déjà à la tête de l’équipe de cyclisme la plus brillante, INEOS est persuadée que les deux entreprises peuvent apprendre l’une de l’autre pour améliorer les performances sur le circuit, sur la route et dans l’eau. Six fois champion de Formule 1, Lewis Hamilton est l’un des pilotes de Mercedes, avec son coéquipier Valterri Bottas. Lors d’une conférence de presse pour annoncer ce partenariat, Sir Jim a précisé qu’il n’avait rencontré Lewis, et son chien, que cinq minutes environ. « Je ne le connais pas, mais je l’admire beaucoup », a-t-il affirmé. « Je pense qu’il est l’un des meilleurs pilotes que l’on est vu », a-t-il ajouté. Sir Jim et Toto Wolff, le chef d’équipe et PDG de Mercedes-AMG Petronas, ont commencé à parler d’un partenariat potentiel lorsqu’ils se sont rencontrés lors des essais de pré-saison de F1 à Barcelone l’an dernier. La nouvelle voiture de l’équipe de F1 avec le logo d’INEOS a été dévoilée lors de cette conférence de presse. Le nom d’INEOS apparaît sur la boîte à air au-dessus de la tête du pilote, sur les ailerons avant et arrière, ainsi que sur les vêtements de l’équipe et les combinaisons des pilotes.    

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L’équipe de F1 de Mercedes vient en aide au NHS

LES INGÉNIEURS de l’équipe F1 de Mercedes ont permis, en moins de 100 heures, de développer un appareil d’assistance respiratoire qui permet d’éviter aux malades du coronavirus d’aller aux soins intensifs. L’équipe a travaillé sans relâche avec les ingénieurs de l’University College de Londres et les cliniciens de l’hôpital UCL pour améliorer un appareil respiratoire existant, utilisé dans les hôpitaux chinois et italiens. Ils ont créé une version sophistiquée, dont l’utilisation a été approuvée par le NHS britannique et l’ont adaptée pour une production en masse. « Nous avons eu la chance de pouvoir faire appel aux techniciens de Formule 1 », a déclaré le professeur Tim Baker du service d’ingénierie mécanique de l’hôpital UCL. « Nous avons pu ramener à quelques jours un procédé qui pourrait prendre des années. » L’appareil, qui pousse l’oxygène dans les poumons pour les maintenir ouverts, réduit l’effort nécessaire pour respirer, en particulier lorsque le COVID-19 a provoqué un affaissement des alvéoles pulmonaires. Il permettra aux patients atteints de coronavirus et d’une grave infection pulmonaire de respirer et évitera le recours à une ventilation mécanique invasive qui oblige à endormir profondément le patient. « Une fois le dossier en main, nous avons travaillé toute la journée, en démontant et en analysant l’appareil non breveté », explique Tim. « À l’aide de simulations informatiques, nous avons encore amélioré l’appareil pour créer une version sophistiquée adaptée à une production en masse. » Mercedes-AMG-HPP fabriquera bientôt jusqu’à 1 000 unités par jour. Le nouvel appareil permettra de sauver des vies en s’assurant que les respirateurs, dont la disponibilité est limitée, sont utilisés pour traiter uniquement les patients les plus atteints. On pense que le Royaume-Uni pourrait avoir besoin à lui seul de 20 000 respirateurs supplémentaires pour gérer la pandémie. Mercedes a également travaillé avec les six autres équipes de F1 basées au Royaume-Uni, dans le cadre du Projet Pitlane, pour stimuler les efforts de traitement des patients atteints de COVID-19 et de graves difficultés respiratoires. Grâce à leur expertise en ingénierie, ils fabriquent un autre équipement médical nécessaire en urgence dans les unités de soins intensifs. « La communauté de la Formule 1 a répondu de manière impressionnante à la demande de soutien », affirme Andy Cowell, directeur général de Mercedes HPP. Toutes les équipes de F1 se démarquent par leur capacité à concevoir et à fabriquer rapidement des produits complexes. Entretemps, l’équipe INEOS TEAM UK, qui s’attachait à construire son bateau de course pour la Coupe de l’Amérique l’année prochaine dans sa base de Portsmouth, a rejoint le combat pour enrayer la propagation du COVID-19. « Dans une telle situation, la lutte contre le COVID-19 est une priorité absolue, pour tous », affirme le skipper Ben Ainslie. « Tout le monde a un rôle à jouer. » Une initiative nationale a été lancée pour soulager les hôpitaux en créant des services « zone rouge » où les patients à faible risque, présentant des symptômes du COVID-19, peuvent être examinés. L’équipe INEOS TEAM UK fournira un équipement de protection individuelle par le biais de ses fournisseurs, y compris des respirateurs, gants et lunettes de sécurité, au service « zone rouge » local. L’équipe utilise également la capacité de fabrication et l'imprimante 3D du site de Portsmouth pour produire 50 masques de protection réutilisables par semaine qui seront envoyés au même service de consultation. De plus, le coordinateur du design de l’équipe, Jonathan Nichols, et le chef de la simulation, James Roche, ont apporté leur aide à une équipe de l’Imperial College de Londres pour concevoir de nouveaux respirateurs. « Même si leur projet n’a pas été choisi par le gouvernement britannique, l’Imperial College cherchera quand même à développer le respirateur », a déclaré le porte-parole de l’équipe. « Et nous les avons mis en contact avec une longue liste de fournisseurs et d’experts pour les aider. » MERCEDESAMGF1.COM INEOS TEAM UK fabrique des visières de protection pour soutenir le combat contre le COVID-19 INEOS TEAM UK soutient la guerre contre la pandémie du COVID-19 en fabriquant des visières de protection pour les travailleurs essentiels aux alentours de sa base de Portsmouth. En associant les capacités et ressources de fabrication de sa base, notamment les imprimantes 3D et les voiliers, à des ressources supplémentaires issues du partenariat avec Mercedes-Benz Applied Science (MBAS), les équipes INEOS TEAM UK et MBAS produiront ensemble un volume total initial de plus de 100 visières de protection par jour.

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Un climat de changement

NOTRE climat change, et nous en sommes tous responsables. En raison de la demande mondiale en eau, aliments frais, vêtements, appareils électroniques, médicaments, voitures, avions et matériaux de construction, la consommation des combustibles fossiles se poursuit. Beaucoup voudraient les interdire ; mais c’est plus facile à dire qu'à faire. « Il ne suffit pas de fermer le robinet », déclare le Dr Peter Williams, directeur de la technologie du groupe INEOS. « La plupart de nos produits, qui sont fabriqués avec du gaz et du pétrole, sont utilisés pour construire des éoliennes, des panneaux solaires et autres technologies renouvelables. » N’en déduisez pas qu’INEOS ignore les problèmes de réchauffement climatique qui menacent la planète. Loin de là. Nous en comprenons les enjeux. « L’innovation et la nécessité de trouver des matières premières et combustibles alternatifs sont très motivants pour INEOS en tant qu’entreprise », déclare le Dr Greet Van Eetvelde, chef de la politique du groupe sur l’énergie et l’innovation et chef du CEN, le réseau de carbone et d’énergie d’INEOS. « Et les employés ne le font pas parce qu’ils le doivent. Mais parce qu’ils le veulent. » Sur le site de Zwijndrecht d’INEOS, le lieu de naissance de l’entreprise, les employés réduisent depuis des années les émissions de gaz à effet de serre en captant le dioxyde de carbone afin de le réutiliser dans d’autres procédés du site. Ces travaux se poursuivent. De plus, INEOS : TRAVAILLE avec des entreprises pionnières dans le recyclage afin de consommer moins de ressources (gaz et pétrole) pour fabriquer ses produits ; COMMENCE à remplacer, si possible, le gaz et le pétrole par des matières premières renouvelables ; et RÉINVESTIT ses bénéfices dans des sites de fabrication sophistiqués pour améliorer leur efficacité, et réduire les émissions de gaz à effet de serre. À cet égard, nous sommes fiers de notre feuille de route. « Nous sommes particulièrement doués pour optimiser nos sites et les rendre plus efficaces », affirme Greet. Mais nous ne restons pas sur nos acquis. Ce qui compte, c’est ce que nous avons l’intention de faire aujourd’hui et demain. Nous nous sommes fixés des objectifs clairs pour utiliser davantage de plastiques recyclés dans nos produits d’ici 2025. Et nous enregistrons déjà d’excellents progrès avec la plupart des nouveaux produits actuellement en vente. « Tout ceci fait apparaître une économie circulaire qui augmentera l’efficacité des ressources, réduira les gaz à effet de serre et trouvera un débouché pour les déchets plastiques », affirme Peter. INEOS, qui reste résolument tournée vers l'avenir, pense que l’hydrogène répondra aux prières des populations qui réclament aujourd'hui un air plus propre, et les entreprises du groupe ont toutes lancé des projets au Royaume-Uni, en Allemagne et en Belgique. Réduire l’utilisation Sur le site de Zwijndrecht d’INEOS, le lieu de naissance d’INEOS, les employés captent le dioxyde de carbone depuis des années afin de le réutiliser dans d’autres procédés du site. Augmenter les énergies renouvelables INEOS a commencé à remplacer, si possible, le gaz et le pétrole par des matières premières renouvelables pour fabriquer ses produits. Nouvelles technologies INEOS travaille en partenariat avec des entreprises pionnières dans le recyclage afin d'utiliser moins de ressources pour fabriquer ses produits. Investissements INEOS réinvestit ses bénéfices dans des sites de fabrication sophistiqués pour améliorer leur efficacité et, par conséquent, réduire les émissions de gaz à effet de serre. Établir des objectifs INEOS s’est fixée des objectifs clairs pour utiliser davantage de plastiques recyclés dans ses produits d’ici 2025. Et nous enregistrons déjà d’excellents progrès avec la plupart des nouveaux produits actuellement en vente. Énergie alternative Les entreprises d’INEOS au Royaume-Uni, en Allemagne et en Belgique travaillent toutes sur des projets de transition vers une économie basée sur l’hydrogène, un gaz qui ne génère aucune émission.

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Boucler la boucle

LES PLASTIQUES à usage unique bénéficient d’un sursis dans le contexte de l'épidémie de coronavirus, dont ils préviennent la transmission : nous avons tous pris conscience de leur importance pour la santé publique. Mais lorsque la crise sera terminée, que se passera-t-il ? INEOS espère que le public réalisera que tous les plastiques ne sont pas mauvais ; c’est plutôt la manière dont nous traitons les déchets plastiques qui est en cause. Depuis des années, INEOS incite à un changement d’état d’esprit et tente d’expliquer ses idées. Maintenant, elle tisse des liens avec des entreprises de recyclage en Amérique, au Royaume-Uni, en Italie et en Autriche. PLASTIC ENERGY, Forever Plast, Viridor, Agilyx, Pyrowave et GreenMantra, tous chefs de file dans leurs domaines, travaillent maintenant avec INEOS pour boucler la boucle et créer une économie circulaire où les déchets n’existent plus. En conséquence, les déchets plastiques, dont la majeure partie était destinée à l'enfouissement par le passé, sont maintenant transformés en matière première qu’INEOS peut exploiter. Afin de réduire sa dépendance aux combustibles fossiles, INEOS a également créé une nouvelle génération de plastiques biologiques à partir d’un résidu de l’industrie de la pâte à papier. Au lieu de n’utiliser que du gaz et du pétrole, elle emploie cette matière première renouvelable provenant de Finlande. Et le plastique fabriqué à partir de cette matière première bio attribuée réduit à 90 % les émissions de gaz à effet de serre par rapport au plastique traditionnel. De plus, INEOS est à deux doigts de conclure un partenariat pour une usine qui récupérera le plastique dont personne ne veut et, grâce à la technologie brevetée d’une entreprise britannique, le transformera en une matière première recyclée pour fabriquer des plastiques vierges. Et surtout, ces produits plastiques de haute qualité et de conception nouvelle éveillent un intérêt considérable aux quatre coins du monde. Dans le cadre de son propre engagement en faveur d’une nouvelle économie circulaire, l’entreprise INEOS s’est fixée quatre objectifs ambitieux pour 2025, notamment la promesse d’utiliser 325 000 tonnes de polymère recyclé dans ses produits. Et elle le fait aujourd’hui. Elle s’est également engagée à proposer des produits contenants au moins 50 % de contenu recyclé. C’est également une réalité. « Nous n’attendons pas que les changements se produisent », déclare Tom Crotty, directeur de la communication d’INEOS. « Nous les mettons en œuvre. »   

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La solution ultime à la pollution

INEOS travaille maintenant avec une entreprise visionnaire qui a développé et exploite un procédé unique pour recycler le plastique impossible à réutiliser auparavant. INEOS a signé un accord avec PLASTIC ENERGY pour développer un centre de recyclage et convertir des déchets plastiques difficiles à recycler en un plastique recyclé et propre ; la production devrait commencer en 2023. Les deux entreprises, qui ont la même vision d’un monde où le plastique est valorisé, feront appel à leur expertise et à leurs connaissances industrielles pour choisir le meilleur emplacement. « Nous pourrons vraiment faire la différence dans un monde où l’usage du plastique ne sera plus une menace », affirme Carlos Monreal, fondateur et PDG de PLASTIC ENERGY. Au cours des 10 dernières années, son entreprise a développé la technologie de recyclage brevetée qui transforme en TACOIL les plastiques destinés traditionnellement à l'enfouissement ou à l’incinération. La matière TACOIL est un pétrole recyclé qui peut être utilisé dans les usines pétrochimiques pour fabriquer de l’éthylène et du propylène, les composants essentiels du plastique. À l’heure actuelle, les entreprises chimiques comme INEOS fabriquent ces composants avec du gaz et du pétrole, puis les convertissent en polyoléfines. PLASTIC ENERGY possède et exploite déjà deux usines en Espagne où la technologie est utilisée 24 heures sur 24 et 330 jours par an. « Ce n’est pas de la science-fiction, ni un projet ou un rêve », affirme Carlos. « C’est une réalité que nous aimerions faire connaître au monde entier. » Selon Rob Ingram, le PDG d’INEOS Oléfines & Polymères, l’accord de construction d’un centre de recyclage avancé marque une nouvelle étape décisive dans la stratégie de durabilité d’INEOS. « Transformer les déchets plastiques en plastique vierge est la définition ultime du recyclage et nous permet d’avancer vers un avenir circulaire pour le plastique », affirme-t-il. PLASTIC ENERGY La matière TACOIL est un pétrole recyclé qui peut être utilisé dans les usines pétrochimiques pour fabriquer de l’éthylène et du propylène, les composants essentiels du plastique. Conversion thermique anaérobie (TAC ou Thermal Anaerobic Conversion)La technologie brevetée de la TAC transforme les déchets plastiques en fin de vie en matière TACOIL pour créer des plastiques recyclés propres ou des combustibles alternatifs à faibles émissions de carbone. Procédé TACLes déchets plastiques sont fondus sans oxygène jusqu’à ce que les molécules de polymère se décomposent pour former une vapeur riche en hydrocarbure saturé. Suite à ce procédé TAC, les gaz condensables sont convertis en produits d’hydrocarbure tandis que les gaz non condensables sont collectés séparément et brûlés pour traiter l’énergie. TACOILLe traitement de chaque tonne de déchets plastiques en fin de vie permet de produire 850 litres de matière première chimique TACOIL.

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Le pouvoir de la pâte à papier

INEOS prévoit de fabriquer une nouvelle gamme de plastiques à partir d’un résidu de l’industrie de la pâte à papier. L’entreprise a signé un accord de long terme pour le biocarburant d’une société en Finlande, qui servira de matière première à la place du gaz et du pétrole purs pour fabriquer des emballages alimentaires, des fournitures médicales et des tuyaux en plastique. INEOS O&P utilise déjà le résidu à base de bois d’UPM Biofuels pour produire des matières premières destinées à l’entreprise INOVYN. Cette dernière a récemment dévoilé sur le marché mondial le premier PVC fabriqué partiellement avec ce résidu qui, à défaut de cette utilisation, est brûlé comme combustible. Ce dernier accord est considéré comme une autre avancée majeure sur la voie d’une économie plus verte. « INEOS cherche à créer une économie circulaire à faible empreinte carbone », précise Gabriella Isidro, directrice du développement commercial d’INEOS O&P Europe du Nord. « Nous passons actuellement l’empreinte carbone de nos produits au microscope. Par conséquent, nous cherchons vraiment à réduire nos émissions de gaz à effet de serre pour avoir un impact plus favorable sur l’environnement. » La nouvelle gamme de polyoléfines « bio attribuées » sera fabriquée sur le site d’INEOS de Cologne en Allemagne. Et elle a déjà été approuvée par la prestigieuse Table ronde sur les biomatériaux durables (RSB). Celle-ci a certifié chaque étape du procédé, depuis la transformation du résidu à base de bois en hydrocarbure par UPM Biofuels, jusqu’au polymère final. « INEOS a vraiment relevé le niveau pour l’industrie du plastique », affirme Nicola Noponen, conseiller technique de la Table ronde sur les biomatériaux. « En choisissant le système de durabilité le plus draconien pour leur certification, ils sont en mesure de prouver que leurs produits présentent des niveaux de durabilité élevés, qu’ils réduisent les émissions de gaz à effet de serre et remplacent les ressources fossiles. » Les produits ainsi fabriqués ont un impact positif avéré pour l'environnement, sans compromis de performance.  Autre avantage du biocarburant d’UPM : il n’est pas seulement renouvelable, il ne fait pas concurrence à la chaîne de production alimentaire. Le biocarburant sera transporté par bateau jusqu’à l’usine d’O&P à Cologne, où il sera transformé en bioéthylène dans l’unité de craquage du site. « En remplaçant les matières premières à base de combustibles fossiles dans le craqueur, nos produits contribueront à la réduction significative des émissions de carbone », précise Rob Ingram, PDG d’INEOS O&P Europe du Nord. L’entreprise UPM, qui fabrique depuis plus de 100 ans des produits à base de bois sur son site de Lappeenranta, est ravie de travailler avec INEOS. « Nos deux entreprises ont travaillé dur pour obtenir la certification RSB : c'est une excellente base commune que nous allons continuer à développer », indique Maiju Helin, chef de la durabilité et du développement des marchés chez UPM Biofuels. L’entreprise a été contrainte de se réinventer avec audace en trouvant de nouvelles activités en 2008 lorsque la demande en papier journal a commencé à baisser. En 2012, elle a construit la première bioraffinerie du monde en produisant un diesel renouvelable à base de bois, et n'a jamais regardé en arrière. UPMBIOFUELS La matière première renouvelable pour le naphtha d’upm bioverno est l’huile de tall brute, un résidu du procédé de fabrication de la pâte à papier. UPM agriculture « climatiquement » positive Nos matières premières sont cultivées à partir de systèmes agricoles existants et ne nécessitent aucune terre agricole supplémentaire pour leur culture. Ces matières premières sont introduites en tant que plantes de couverture à forte biomasse à la culture principale existante lors de rotation pendant les saisons où la terre n'est généralement pas exploitée de manière productive ou en jachère. Si vous souhaitez plus d'informations sur cette gamme ou souhaitez nous faire part de vos questions relatives à ces produits, veuillez nous contacter à l’adresse suivante : sustainability.OPEurope@ineos.com.

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La priorité absolue

DES MILLIARDS de bouchons de bouteilles en plastique (destinées à l'enfouissement) sont maintenant recyclés en nouveaux bouchons colorés, parfaitement formés. INEOS, à l’origine de cette innovation, affirme qu’un tel recyclage n’a jamais été tenté auparavant. « Il s’agit d’un changement radical, mais il était nécessaire », déclare Bruce Debell, directeur commercial d’INEOS Oléfines & Polymères Sud. « Nous avons prouvé au monde qu’il est possible d’utiliser des produits recyclés pour créer des objets de haute qualité. » Au cours des cinq prochaines années, 6,5 milliards de bouchons de bouteilles seront recyclés. O&P collabore avec une entreprise italienne privée, spécialisée dans le recyclage du polyéthylène à haute densité, et a élaboré un système permettant de séparer et de nettoyer les bouchons de différentes couleurs. Par le passé, ce plastique très polyvalent, capable de prendre n’importe quelle forme, était soit enfoui dans les décharges, soit transformé pour fabriquer d'autres produits, comme des pots de fleurs ou des meubles de jardin. Mais, selon Bruce, il fallait trouver un meilleur usage pour ce plastique très élaboré. « D’autres plastiques de qualité inférieure peuvent être utilisés pour ces produits », affirme-t-il. INEOS et Forever Plast de Milan ont déjà soulevé l’intérêt de marques bien connues, prêtes à acheter ces nouveaux bouchons de bouteilles. Ces changements répondent directement à la demande d'une nouvelle génération de consommateurs qui souhaitent protéger l'environnement en utilisant des produits recyclés. « Ce faisant, nous consommons moins de combustibles fossiles pour fabriquer nos produits », affirme Bruce. Forever Plast mélange 50 % des bouchons recyclés avec des produits chimiques spécialisés très élaborés, qui ont été développés dans l’usine d’INEOS en Toscane. Le résultat final possède des propriétés identiques à celle du polyéthylène haute densité vierge d’INEOS. Les nouveaux bouchons, qui seront fabriqués avec 50 % de matériaux recyclés, ne peuvent pas encore être utilisés sur les récipients alimentaires ou les boissons en raison des réglementations. Mais c’est l’objectif final. « Ce sera difficile, mais nous n’écartons pas cette possibilité », ajoute Bruce. « Nous cherchons maintenant à pouvoir remettre ces produits en contact avec les aliments, car si nous y parvenons, le marché qui s'ouvre à nous est colossal. » Au fil des années, les bouchons de bouteilles se sont allégés sans perdre leurs qualités. C’est peut-être un détail, mais au vu des milliards de bouchons de bouteilles produits chaque année, la réduction des ressources pour les fabriquer peut faire une différence considérable. « C’est la science qui a rendu tout ceci possible », conclue Bruce. Forever Plast Au cours des cinq prochaines années, 6,5 milliards de bouchons de bouteilles seront recyclés Procédé de recyclage Les entreprises de recyclage du PET collectent les bouteilles. Après triage, les bouteilles en plastique sont écrasées en grosses balles. Le plastique est déchiqueté et placé dans l’eau. Les anciennes bouteilles en PET coulent. Les anciens bouchons en polyéthylène haute densité flottent. Les flocons multicolores (anciens bouchons de bouteilles) peuvent ensuite être récupérés à la surface. Ces flocons sont envoyés à Forever Plast, qui les insère dans une machine capable de trier les flocons en fonction des couleurs. Après nettoyage, ils sont broyés en granules et finalement mélangés avec des produits chimiques vierges de haute qualité d’INEOS.

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À fond les gaz

L’HYDROGÈNE a le pouvoir de transformer le monde de manière incroyable. Il alimente déjà le soleil, qui alimente à son tour le monde. Mais il peut également alimenter les transports, les entreprises et mêmes les maisons, et réduire nettement les émissions nocives de gaz à effet de serre. « Nous sommes tous d’accord pour dire que, si la société doit atteindre l'objectif zéro émission nette, l’économie à hydrogène doit faire un bond considérable », explique le Dr Peter Williams, directeur de la technologie du groupe INEOS. « Et INEOS possède les compétences, les capacités et le désir de concrétiser cette ambition. » Les entreprises d’INEOS au Royaume-Uni, en Allemagne et en Belgique travaillent toutes actuellement sur des projets impliquant l’hydrogène. Au Royaume-Uni, INOVYN, entreprise d’INEOS qui produit des milliers de tonnes d’hydrogène par an sous forme de coproduit, étudie comment le gaz pourrait alimenter des bus, des voitures et des camions et améliorer considérablement la qualité de l’air dans les villes. INEOS pourrait réutiliser plus largement ce coproduit qu’est l’hydrogène tout en associant sa technologie d’électrolyse à l’énergie renouvelable afin de produire des volumes plus importants d’hydrogène vert pour les transports, les industries et les maisons. Membre de la North West Hydrogen Alliance, INOVYN pense que l’hydrogène est une alternative valable et viable économiquement aux combustibles fossiles. « Contrairement aux combustibles fossiles, l’hydrogène ne sera jamais épuisé », déclare un porte-parole. L’hydrogène peut être fabriqué en électrolysant de l’eau, ce qui produit de l’hydrogène et de l’oxygène sous forme de coproduits. Cette alliance travaille à la mise en circulation de 25 autocars fonctionnant à l’hydrogène, sans émission de gaz à effet de serre, dans les rues de Liverpool d’ici la fin de cette année. Un certain nombre de sites d’INOVYN, y compris Runcorn, ont déjà des chaudières à combustion mixte (hydrogène) et utilisent ainsi l’hydrogène depuis des décennies pour produire de la vapeur. Sur le site d’INEOS à Cologne en Allemagne, la centrale électrique profite également d’une combustion mixte à l’hydrogène et au gaz naturel, et les employés cherchent à introduire l’hydrogène dans le réseau électrique de la région pour alimenter les transports publics de la ville.  Ces efforts sont en parfaite adéquation avec les politiques de l’Allemagne, qui souhaite créer une économie à base d’hydrogène pour atteindre les objectifs de l’Accord de Paris. Le Royaume-Uni cherche également à produire de l’hydrogène à partir du gaz naturel. Contrairement à l’hydrogène issu de l’eau, il contiendrait un peu de carbone qui devrait être capté directement, puis stocké profondément dans le sol. « Nous pourrions ainsi diminuer de moitié les émissions de notre site de Grangemouth en Écosse », affirme Peter. Le captage et le stockage du carbone ne sont pas toujours nécessaires avec la production d’hydrogène mais, lorsqu’ils le sont, INEOS est bien placée. Dans le port d’Anvers en Belgique, INEOS travaille avec de nombreuses entreprises, y compris BASF, Total et ExxonMobil, sur des projets de captage et de stockage du carbone. « INEOS peut apporter son expérience car elle capte déjà la moitié des émissions du procédé Oxyde à Anvers », déclare le Dr Greet Van Eetvelde, chef de la politique du groupe sur l’énergie et l’innovation et chef du CEN, le réseau de carbone et d’énergie d’INEOS. La technologie de captage du carbone évolue rapidement et sera bientôt viable sur le plan économique. INEOS travaille également sur le stockage. Selon le Conseil danois sur le changement climatique, le captage du carbone pourrait démarrer en 2025 et ce stockage pourrait avoir une réelle influence en 2030. « C’est également notre objectif », affirme Johan Byskov Svendsen, responsable des installations en développement d’INEOS au Danemark. « Nous partons du principe que le stockage du CO2 sera possible dès la deuxième moitié de cette décennie. » Il ajoute : « Aucune autre entreprise implantée dans ce pays n’a encore avancé aussi loin qu’INEOS avec un projet CSC. » INEOS, qui prévoit de fabriquer le craqueur d’éthylène le plus écoénergétique d’Europe, sera donc très bien préparée. Une fois construit, le craqueur d’éthylène de 3 milliards d’euros d’INEOS et l’unité PDH (déshydrogénation du propane) de dimension mondiale d’Anvers émettront moitié moins de CO2 que les installations européennes vieillissantes de taille similaire car l’hydrogène coproduit remplacera le gaz naturel comme combustible. « Ce sera une première en termes de technologies utilisées, d’impact environnemental et d’efficacité écologique », précise Peter.

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La construction du Grenadier - Châssis et Essieux

INEOS fabrique un 4x4 extrêmement robuste, capable d'affronter les conditions les plus hostiles. Tout le monde le sait déjà. En revanche, l’apparence du Grenadier n’est pas encore connue. INEOS va cependant tenter de répondre à cette question brûlante cette année. Au cours des 12 prochains mois, elle révélera des parties du 4x4 pour la première fois ; morceau par morceau. INEOS crée le châssis échelle en collaboration avec un constructeur automobile très expérimenté et connu pour la haute performance de ses châssis, même dans les environnements les plus rudes. Et pour développer les essieux avant et arrière, l’entreprise s’est associée à Carraro, qui fabrique depuis très longtemps des véhicules 4x4 robustes. Voir la vidéo: ineosgrenadier.com/reveal/frame-axles CHÂSSIS ÉCHELLE Un bon 4x4 conçu pour affronter les terrains les plus difficiles a besoin d’un châssis échelle caissonné. Alors, pourquoi choisir autre chose ? Super solide, robuste, simple et stable. EXCELLENTE CAPACITÉ DE REMORQUAGEUne plateforme stable. Une répartition des charges équilibrée. Une capacité de 3,5 tonnes. PROTECTION ANTI-CORROSION MULTICOUCHECapable de résister à l’eau, la neige, le sel ou le sable de voirie. SOLIDITÉ À L’ÉTAT PURArbres, pierres ou termitières. Un contact susceptible d’arrêter un 4x4 monocoque ne devrait pas stopper le Grenadier. RIGIDITÉ FANTASTIQUEUn acier haute résistance capable de supporter les torsions. Épaisseur des parois jusqu’à 4 mm. Capable de supporter de hauts niveaux de contraintes sous charge. ESSIEUX RIGIDES Les essieux rigides font partie du Grenadier. Et pour de nombreuses raisons. Depuis l’apparition des premiers 4x4, les essieux rigides ont clairement surpassé la suspension indépendante, notamment en matière de garde au sol, d’articulation et de capacité à transporter des charges. Ils sont plus faciles et plus simples à réparer. Avec une résistance bien plus grande sur tous les terrains. CONFORT AMÉLIORÉ DU CONDUCTEURAssociés à la suspension, les essieux rigides offrent un meilleur confort de conduite sur les terrains les plus difficiles. TRACTION SÛRELorsqu’une extrémité ou un côté monte, l’autre appuie sur le sol pour augmenter l’adhérence. TRANSPORT DE CHARGESContrairement à la suspension indépendante, la traction, le freinage et l’usure des pneus ne changent pas lors d’une compression. Un atout fantastique pour transporter des charges lourdes. GARDE AU SOL PLUS ÉLEVÉEFranchit facilement les gros obstacles sur les terrains rocailleux. À L’AVANT ET À L’ARRIÈREArticulation et solidité encore plus importantes. Des joints homocinétiques robustes. En route vers un nouvel avenir ? INEOS est déterminée à construire un jour un 4x4 à hydrogène capable d’affronter la vie en pleine nature. L’entreprise a passé les neuf derniers mois à explorer les meilleures alternatives pour atteindre ce but sans affecter la capacité du Grenadier à survivre dans les conditions les plus extrêmes. « Tout le travail accompli vient conforter notre idée qu’un véhicule à hydrogène est la meilleure solution pour développer une version zéro émission d’un 4x4 robuste », affirme Antony Walker, directeur financier d’INEOS Automotive. « Nous voulons absolument accélérer nos développements. » L’étude de faisabilité a été financée à l’aide d’une subvention de 124 000 £ d’Innovate UK. « Il reste beaucoup de chemin à parcourir entre cette étude de faisabilité et un véritable programme de développement chiffré pour un véhicule à pile à hydrogène », déclare Mark Tennant, directeur commercial d’INEOS Automotive. Démarré en juillet de l’an dernier, ce projet a impliqué des ingénieurs venus d’Allemagne, des employés spécialisés en approvisionnement, en vente et en finance du Royaume-Uni et des experts techniques d'AVL Powertrain UK, partenaire du projet. INEOS Automotive est parfaitement bien placée pour faciliter le développement de l’infrastructure nécessaire pour soutenir les véhicules à hydrogène alors qu'à ce jour, il n’existe que 16 stations de distribution d’hydrogène au Royaume-Uni. L’entreprise travaille en étroite collaboration avec les sociétés chimiques d’INEOS, qui produisent environ 250 000 tonnes d’hydrogène par an au Royaume-Uni et en Europe lors de la fabrication du chlore et pendant le craquage du gaz et du pétrole. Actuellement, INEOS en utilise la majeure partie, mais l’hydrogène pourrait être employé plus largement pour assainir l'air des villes les plus affectées par la pollution. « Le monde s’intéresse clairement à une économie à faible empreinte carbone, et le secteur automobile a une opportunité majeure de réduire les émissions », précise Antony. Ce qui est fabuleux avec l’hydrogène, c’est que, lorsqu'il est utilisé comme combustible, il ne produit que de l’eau, si pure que vous pourriez la boire. Et faire le plein va aussi vite qu’avec de l’essence ou du gazole. Les véhicules électriques sont actuellement présentés comme des alternatives aux versions à essence et à gazole. Mais ils sont lourds, les batteries ne durent pas longtemps et il faut des heures pour les recharger. « En raison de ces inconvénients technologiques, les véhicules électriques actuels ne sont pas suffisamment pratiques pour le transport lourd, la construction et l’usage tout-terrain », précise Antony.  

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Réunion au sommet : sauver le saumon de l’Atlantique

LES EXPERTS mondiaux en conviennent tous : s'ils veulent assurer la survie du saumon sauvage de l’Atlantique Nord, ils doivent unir leurs forces. Lors d’une conférence internationale organisée par INEOS en Islande, l’importance du partage des connaissances est clairement ressortie des discussions sur le déclin alarmant du saumon et sur les efforts nécessaires pour que ce poisson emblématique ne soit plus au bord de l’extinction. Des scientifiques, universitaires et écologistes venus de l’Islande, du Royaume-Uni, de la Norvège, de l’Irlande et du Canada ont compris que les vrais changements se produisent uniquement lorsqu’ils unissent leurs efforts. « Ils font tous des choses incroyables, alors nous avons cherché à les réunir », indique le Dr Peter Williams, directeur de la technologie du groupe INEOS. « En créant un forum afin de partager nos travaux et ceux d’autres chercheurs, nous pouvons nous entraider et élargir les perspectives pour améliorer notre compréhension, nous concentrer sur notre travail et le faire connaître de manière bien plus efficace. » Au cours des 30 dernières années, le nombre de saumons de l’Atlantique Nord a chuté de 70 % et l’espèce est maintenant en danger. Pendant ce sommet, le Dr Colin Bull, de la Missing Salmon Alliance, a déclaré qu’il était « vraiment urgent » de créer une initiative pour compiler toutes les informations qui existaient déjà. « À mon avis, il est possible de réunir toutes les disciplines pour transformer la multitude de données de recherche et de gestion sur le saumon et son environnement en une ressource cohérente pour concentrer et stimuler nos efforts collectifs », affirme-t-il. Selon Gudni Gudbergsson, chef de la division Eau douce de l’Institut de recherche sur les milieux marins et d’eau douce en Islande, il existait déjà une vaste coopération entre l’ICIS (centre international pour l'évaluation intégrée et le développement durable) et l’OCSAN. Cependant, les deux organisations avaient des missions spécifiques. « C’est une structure indispensable pour toute organisation, mais une nouvelle façon de penser, axée sur la collaboration, est aujourd'hui nécessaire, et c’est précisément ce que nous faisons ici aujourd’hui », ajoute-t-il. Le Dr James Rosindell, maître de conférences sur la théorie de la biodiversité à l’Imperial College de Londres, a invité au partage des données de recherche universitaires et pratiques. « Les recherches sont souvent menées par des groupes différents qui sont parfois réticents à partager leurs travaux », a-t-il dit. Il a appelé à une révision du système universitaire traditionnel. « Se battre les uns contre les autres pour obtenir un financement, puis réinventer la roue et publier des articles qui finissent sur des étagères à ramasser la poussière est à la fois stressant et inefficace », déclare-t-il. En janvier, le sommet de Reykjavik s’est terminé par la promesse d’établir rapidement de nouvelles stratégies de préservation pour inverser le déclin. La plupart de ces stratégies sont déjà testées en Islande, où le président d’INEOS, Sir Jim Ratcliffe, a créé le projet de préservation Six Rivers. « C'est un programme holistique qui s'appuie sur la science », explique Peter. Dans le cadre de ce projet, les botanistes ont planté des arbres pour enrichir le sol autour des rivières car une végétation plus saine est synonyme de meilleur environnement pour les organismes vivant dans les rivières.  Environ 1 000 smolts (jeunes saumons proches de la maturité) ont été marqués pour permettre aux scientifiques de suivre et de surveiller leur comportement. Et des millions d’œufs de saumon ont été enfouis dans le gravier des cours d'eau, plus en amont, pour donner naissance à une population plus saine et plus dense. En plus, les doctorants de l’Institut de recherche sur les milieux marins et d’eau douce et de l’Imperial College de Londres ont comparé les données récentes et historiques, compilées par l’institut au cours des 75 dernières années. « Nous pensons que le projet Six Rivers permettra d’aider les initiatives de préservation dans d’autres pays », espère Peter. Selon Gisli Asgeirsson, le PDG du club de pêche Strengur, ce travail a été fondamental pour comprendre les raisons de la disparition du saumon de l’Atlantique, et ce qui fallait faire pour l’éviter. « Dès que nous aurons cette information, nous pourrons commencer à mettre en place des mesures qui aideront non seulement le saumon à survivre, mais également à prospérer », explique-t-il. Sir Jim, qui est un expert de la pêche à la mouche, travaille avec le club Strengur depuis des années. Tous les bénéfices du club Strengur, qui offre la meilleure pêche à la mouche du monde, sont maintenant réinvestis dans la préservation du saumon dans le Nord-Est de l’Islande. Pour de plus amples informations et des photos du symposium, rendez-vous sur sixrivers.is/en/symposium Principaux intervenants du symposium 23 janvier, The Hilton Nordica, Reykjavik en Islande Peter S. Williams, B.A., Dr en philosophieDirecteur de la technologie du groupe INEOS Dr Colin BullThe Missing Salmon Alliance Prof Guy WoodwardProfesseur d’écologie et chef-adjoint du service des sciences de la vie à l’Imperial College de Londres Dr Rasmus LauridsenChef de la recherche sur la pêche du Game & Wildlife Conservation Trust Else MöllerMaîtrise universitaire ès sciences sur les forêts à Austurbru Prof Nikolai FribergDirecteur de recherche en biodiversité à l’institut norvégien de recherche sur l’eau (NIVA) à Oslo en Norvège Gudni GudbergssonDivision Eau douce de l’institut de recherche sur les milieux marins et d’eau douce de Reykjavik James RvosindellMaître de conférences sur la théorie de la biodiversité à l’Imperial College de Londres Mark SaundersDirecteur de l’Année internationale du Saumon, Région du Pacifique Nord Philip McGinnityProfesseur de recherche de l’Institut de recherche sur l’environnement de l’université de Cork UniversitairesLes doctorants de l’Institut de recherche sur les milieux marins et d’eau douce et de l’Imperial College de Londres ont comparé les données récentes et historiques compilées par l’institut au cours des 75 dernières années. ÉcologistesDes millions d’œufs de saumon ont été enfouis dans le gravier des cours d’eau, plus en amont, pour donner naissance à une population plus saine et plus dense. Et des échelles à saumons ont été construites pour permettre aux poissons d’atteindre de nouvelles frayères, en amont des rivières. ScientifiquesEnviron 1 000 smolts (jeunes saumons proches de la maturité) ont été marqués pour permettre aux scientifiques de suivre et de surveiller leur comportement. BotanistesDes biologistes, spécialisés dans les plantes, ont planté des arbres pour enrichir le sol autour des rivières car une végétation plus saine est synonyme de meilleur environnement pour les organismes vivant dans les rivières. Club de pêche StrengurTous les bénéfices du club, qui offre la meilleure pêche à la mouche du monde, sont maintenant réinvestis dans la préservation du saumon dans le Nord-Est de l’Islande. Le projet Six Rivers, dans sa 4ème année de développement, avance bien. Notre objectif : protéger le saumon de l’Atlantique Nord, une espèce désormais menacée. Les moyens : une entité auto-financée qui lance des initiatives de préservation à long terme. Les actions : dépôts annuels d'œufs de saumon, revégétalisation/plantation d’arbres, construction d’échelles à saumon, à un niveau jamais tenté auparavant. Le principe fondamental : une recherche d’envergure mondiale. Ces initiatives vont nettement stimuler la population de saumons dans le Nord-est de l’Islande. La nature prendra son temps, mais nous constatons déjà des signes favorables. Beaucoup d’autres actualités à venir - Bill Reid, Six Rivers et Conseil de Strengur.

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Des mains sûres

INEOS avait l’habitude de s’inspirer des grands noms de l’industrie chimique. Ces entreprises lui ont permis d'identifier les objectifs à atteindre (et les besoins à satisfaire) en matière de sécurité. Mais aujourd'hui, INEOS s'inspire de ses propres entreprises. « Nous ne pouvons plus nous contenter d'observer les autres, car nous sommes maintenant au sommet, avec les meilleurs », déclare Simon Laker, directeur des opérations du groupe INEOS. Selon les chiffres de l’OSHA, INEOS a enregistré sa meilleure performance l’an dernier, atteignant un chiffre record de 0,16 contre seulement 0,91 en 2009. « Nous ne prétendons pas être les meilleurs du monde, mais nous jouons dans la cour des grands », précise Simon. L’entreprise britannique Oil & Gas UK a été la première de la classe avec zéro accident. Ce que ces chiffres ne montrent pas, c’est le travail qu’INEOS a dû fournir pour atteindre ce niveau d'excellence. Au fil des années, le groupe a développé de nombreux systèmes pour régler chaque problème au fur et à mesure qu'il se posait. Il n’existe que peu de systèmes déployés à l’échelle du groupe INEOS entier, mais la sécurité en fait partie. Tous les sites font l’objet d’un audit régulier par rapport à 20 principes, qui couvrent tout, des méthodes de contrôle du travail aux méthodes de contrôle du changement. Les employés en quête de solutions peuvent facilement identifier les sites les plus performants et trouver les réponses qu'il leur faut. « C’est vraiment le pouvoir d’INEOS », affirme Simon. La structure de primes est intrinsèquement liée à la performance du site en matière de sécurité, y compris les niveaux de propreté et d’entretien. « La prime ne sera pas accordée si le site n’est pas correctement entretenu », explique Simon. Cela a changé lorsqu’INEOS a lancé le système d’audit AsCare après les niveaux d’entretien et de maintenance médiocres de l’un de ses sites français. « Aujourd’hui, si vous allez sur un site, vous pouvez dire quelles parties appartiennent à INEOS car elles sont impeccables », affirme-t-il. Il n’existe que peu de systèmes déployés à l’échelle du groupe INEOS entier, mais la sécurité en fait partie. Tous les sites font l’objet d’un audit régulier par rapport à 20 principes, qui couvrent tout, des méthodes de contrôle du travail aux méthodes de contrôle du changement. Les sites dont les performances sont médiocres, en termes de blessures, fuites et infractions aux lois environnementales, sont placés sur liste ROUGE. « Nous considérons qu'un site sur liste ROUGE présente un risque inacceptable pour INEOS », affirme Simon. Chaque site ROUGE a deux ans pour corriger les problèmes. En cas d’incapacité à atteindre les normes requises, le site est mis à l’arrêt et fermé. « Nous n’aimons pas fermer des sites, mais nous ne pouvons pas gérer un site où les employés risquent d’être blessés », précise Simon. « Une catastrophe pourrait survenir, et c'est inacceptable. C’est vraiment le genre de choses qui nous empêchent de dormir la nuit. » En 2012, INEOS a lancé 20 principes de sécurité de base concernant les procédés et les comportements. Ces messages ont permis de réduire les accidents à signaler et d’enregistrer la meilleure performance à ce jour en matière de sécurité. Mais ils ne sont pas respectés par tous à tout moment. « Chaque fois qu’un accident se produit, il est étudié pour vérifier si l’un des 20 principes a été enfreint » explique-t-il. « Je n’ai pas encore trouvé d’accident où cette procédure n’a pas été appliquée. Si nous respectons constamment ces principes, nous n’aurons jamais plus d’accident chez INEOS. » Au fil du temps, les améliorations ont été considérables, comme le montrent les nouveaux résultats, mais il existe quelques activités critiques qui sont tellement importantes qu’une infraction entraînera un licenciement immédiat. Ces règles sauvent des vies. « D’autres entreprises pourraient leur donner une deuxième chance, mais pourquoi donner à quelqu'un une autre chance de se tuer ou de tuer l’un de ses collègues ? » demande Simon. « Nous ne pouvons pas tolérer ce type d'individus dans notre organisation. » INEOS a enregistré ses meilleurs résultats OSHA en dépit de l’acquisition d’autres entreprises dont les normes, les procédures et les règles de sécurité sont souvent différentes. « Lorsque nous cherchons à acquérir de nouvelles sociétés, nous évaluons le risque », explique Simon. « La plupart affiche des résultats bien inférieurs aux nôtres en matière de sécurité. Lorsqu’elles rejoignent notre groupe, leur première priorité est d’atteindre les niveaux de sécurité d’INEOS. » Mais cet héritage métissé (certaines personnes travaillant chez INEOS viennent de BP, BASF, ICI et bien d’autres encore) apporte en fait certains avantages. « D’autres pourraient y voir une faiblesse », explique Simon. « Mais pour nous, c'est un point fort : avec un héritage aussi riche, nous sommes toujours sûrs de trouver la réponse à n’importe quel problème. » Chaque mois, le président d’INEOS Sir Jim Ratcliffe reçoit un rapport détaillé indiquant différents chiffres comme les alarmes critiques de sécurité ou les inspections en retard. On sait que certains sites rachetés par INEOS ont signalé des centaines d’alarmes et d’inspections ratées en un mois. « En un ou deux ans, ils atteignent les niveaux que l’on attend chez INEOS », affirme Simon. Pour INEOS, cependant, le travail ne s’arrête jamais. « Lorsque les résultats d’une entreprise s’améliorent, nous changeons les règles du jeu pour faire encore mieux », affirme-t-il. « On en revient toujours à la peur de l’autosatisfaction. Dès que vous pensez avoir atteint le sommet, c’est là que vous tombez. » 20 principes COMPORTEMENT SÉCURITÉ Notre conviction profonde est que tous les accidents peuvent être évités Chacun a pour première responsabilité de s’assurer qu’il travaille en sécurité Chacun a le devoir d’arrêter un travail s’il pense que la situation est dangereuse Les exigences et les normes sont les mêmes pour tous sur le site Les procédures et les règles doivent être suivies et respectées Nous sommes mutuellement attentifs à notre sécurité et aux situations à risque Tous les accidents, incidents et presqu’incidents doivent être signalés et faire l'objet d'une investigation Nous évaluons le risque avant, pendant et après le travail Tous les responsables d’équipe sont personnellement chargés de promouvoir et faire respecter ces principes Nous devons toujours travailler dans les limites de nos compétences et des formations reçues SÉCURITÉ DES PROCÉDÉS Le directeur opérationnel d'une unité est responsable de son intégrité Les ingénieurs des sites sont responsables du maintien des installations et de l'intégrité des systèmes de protection Les responsabilités portant sur la définition et le contrôle des enveloppes opérationnelles doivent être clairement établies dans l'organisation Les procédures d'exploitation et les enveloppes opérationnelles doivent être respectées. Toute déviation doit être signalée et analysée Tout changement doit faire l’objet d'une analyse de risque appropriée, dans le cadre de l’application des procédures MOC Les risques liés aux procédés doivent être systématiquement identifiés, évalués, passés en revue et gérés Toutes les installations doivent faire l’objet de contrôles périodiques ayant pour but d’assurer leur intégrité et la fiabilité des systèmes de protection Les opérations donnent toujours la priorité à la sécurité des opérations par rapport aux impératifs de production En cas de doute, l’installation doit toujours être remise en configuration la plus sûre Nous avons des plans d’urgence proportionnés aux risques, que nous testons régulièrement

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NHS and INEOS

« Pendant presque 28 ans, j’ai travaillé comme technicien de maintenance sur le site de composés de Newton Aycliffe dans le nord-est de l’Angleterre. C’est également le site de l’une des nouvelles installations de fabrication d’INEOS, qui produit chaque mois un million de bouteilles de désinfectant pour les mains de qualité hospitalière. Ma compagne est infirmière au service des urgences de l’hôpital Darlington au Royaume-Uni et elle travaille plus dur que jamais pour sauver des vies, en pleine épidémie de COVID-19. Hier, ma fille de 15 ans m’a fait un dessin et m'a demandé de le coller à la fenêtre pour témoigner son soutien et montrer combien elle est fière de tout ce que le NHS et INEOS font pour lutter contre le COVID-19. » Shaun James - Technicien de maintenance chez INEOS

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