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Leaders mondiaux

En misant sur l’innovation et les partenariats et en mettant l’accent sur les besoins du client, INEOS Styrolution tient fermement sa place de leader
7
min
2017

Être un moteur de réussite. Ensemble. Voilà l’esprit d’INEOS Styrolution et voilà ce qu’ellea à offrir, comme l’a découvert INCH

DANS notre monde toujours plus dynamique et changeant, rien ne peut remplacer l’innovation.

Elle est la clé pour stimuler la croissance économique, pour s’adapter aux vrais besoins du marché et ouvre la voie au véritable progrès.

À mesure que la pression augmente sur les ressources, que les applications deviennent plus exigeantes et que la durabilité devient bien plus qu’un simple mot à la mode, l’innovation n’a jamais été aussi indispensable.

INEOS Styrolution l’a compris.

Ainsi, la société se concentre sur les clients et leurs besoins.

Mais ce principe ne s’applique pas uniquement à ses activités de R&D innovantes.

Elle a fondé un réseau international en matière d’innovation qui comprend des organisations telles que l’université d’État de Washington, le Fraunhofer LBF Darmstadt, la Neue Materialien Bayreuth GmbH et l’université de Bayreuth afin d’offrir les meilleures solutions aux clients et ainsi leur donner un avantage concurrentiel dans leurs marchés respectifs.

Pendant près de quatre ans, elle a étroitement collaboré avec la Neue Materialien Bayreuth GmbH en Allemagne, un important site de R&D dans la science des matériaux, ainsi qu’avec l’université de Bayreuth.

L’université effectue les recherches de base, la NMB étudie les procédés de production innovants et INEOS Styrolution, qui pilote le processus de recherche tout entier, est le responsable final de la production et du lancement de solutions innovantes.

« C’est un partenariat extraordinaire et unique », déclare le Dr Norbert Niessner, Directeur Monde de la Recherche et du Développement chez INEOS Styrolution. « Non seulement nous avons beaucoup d’idées mais, avec nos partenaires du secteur de l’innovation, nous disposons également des ressources pour les mener à bien. »

Le bénéficiaire de ce système est le client.

« Habituellement, si vous travaillez dans la R&D, on a tendance à croire que vous travaillez dans une tour d’ivoire, mais ce n’est pas le cas ici », ajoute-t-il. « Nous intégrons les chercheurs de l’université de Bayreuth comme s’ils étaient nos propres salariés. Ils sont exposés à de vrais défis de la part des clients et c’est ce qui rend cette collaboration si remarquable. C’est la volonté et les cerveaux qui travaillent main dans la main afin de trouver une solution. »

Selon INEOS Styrolution, on revient toujours au même objectif : faire en sorte que le client soit en tête du peloton.

« Nous nous engageons à donner un avantage concurrentiel à nos clients dans leurs marchés », a affirmé le PDG 

Kevin McQuade. « Si nous souhaitons leur trouver la meilleure solution, nous devons travailler main dans la main avec eux. Le réseau en matière d’innovation est gagnant-gagnant pour tout le monde. Les clients accèdent aux meilleures solutions et ressources. Les partenaires sont également ravis, car ils effectuent des recherches en vue d’une utilisation dans la vie réelle. »

L’industrie automobile est notamment au centre des préoccupations d’INEOS Styrolution.

Plus tôt dans l’année, la société a dévoilé, avec la NMB, une toute nouvelle solution qui offre une myriade d’opportunités à l’industrie automobile. Le produit StyLight est un composite à base de matériaux styréniques de l’entreprise qui est actuellement en phase d’évaluation par plusieurs constructeurs automobiles.

« Nous attendons les premières commandes sous peu », indique Norbert.

Toutefois, l’industrie automobile n’est pas la seule à profiter de la sagesse et de la matière grise des partenaires universitaires d’INEOS, ainsi que du savoir-faire et du dynamisme de l’équipe d’INEOS Styrolution.

Récemment, ils ont commencé à travailler ensemble sur un projet visant à développer des solutions innovantes le recyclage du polystyrène.

« Le plastique durable est un sujet primordial de nos jours », déclare Norbert. « C’est pour cela que nous tenons tant à réussir dans ce domaine. Cela pourra prendre quelques années, mais nous savons que nous en sommes capables »

INEOS Styrolution se démarque par l’importance qu’elle accorde au développement de solutions, pas seulement pour que ses clients conservent une longueur d’avance sur leurs concurrents, mais aussi dans l’intérêt de la société.

« Je pense que seules les sociétés qui offrent une valeur réelle à leurs clients, et j’inclus par-là la dimension durable telle que la réduction des gaz à effet de serre et la sauvegarde des ressources, conserveront leur place sur le marché », ajoute Norbert.

INEOS Styrolution n’est pas la seule à être impressionnée par les partenariats qu’elle a noués au fil des ans.

« La collaboration fournit des domaines de recherche axés sur l’application, qui séduisent nos étudiants et chercheurs », explique le Prof. Dr Hans-Werner Schmidt, Département de Chimie Macromoléculaire, université de Bayreuth.

En collaborant à des idées innovantes destinées aux clients d’INEOS Styrolution présents dans les secteurs de l’automobile, de l’électronique, de l’électroménager, de la construction, des services de santé et du conditionnement, ils pensent pouvoir créer le styrène de demain.

« Cette innovation orientée vers le client est au coeur de notre stratégie de croissance », indique Kevin.

La société organise régulièrement des journées de l’innovation au cours desquelles les clients peuvent lui donner une liste de ce qu’ils souhaitent obtenir au cours des trois à cinq années suivantes. En résumé, INEOS Styrolution travaille dur pour comprendre ce que recherchent les clients afin de leur offrir un avantage concurrentiel.

Tout ce que la société entreprend vise à répondre à sa stratégie dite des Trois Leviers, à savoir trois domaines qu’elle a identifiés comme étant essentiels pour contribuer à faire prospérer l’entreprise.

Tout d’abord, les équipes, possédant chacune une connaissance approfondie du secteur propre à leurs clients, travaillent en collaboration étroite avec eux afin de leur offrir les meilleures solutions, qu’ils soient dans le secteur automobile ou autre.

Ensuite, la société concentre ses efforts sur une production accrue et de plus grande valeur de produits spécialisés à base de styrène.

Enfin, elle développe sans cesse ses activités dans des régions jugées mûres pour la croissance, telles que l’Asie.

Et elle semble d’ailleurs plutôt bien partie sur cette voie.

Plus tôt dans l’année, elle a conclu sa première acquisition.

L’achat de la société internationale spécialisée dans les copolymères de styrène-butadiène K-Resin® (CSB), possédant un site de fabrication en Corée, a contribué à faire progresser INEOS Styrolution sur le marché asiatique en pleine expansion et à consolider sa position en tant que seul et unique fabricant de styrène d’envergure réellement mondiale.

« Nous possédions déjà des sites de production de CSB en Amérique et en Europe, mais il nous manquait une usine de fabrication en Asie-Pacifique », explique Kevin. « La K-Resin a permis de combler cet espace autrefois vide sur notre carte du secteur spécialisé de CSB. »

La société emploie actuellement 3 200 personnes et possède 16 usines de production ainsi que six sites de R&D répartis dans neuf pays.

Tourné vers l’avenir, Kevin reste optimiste et enthousiaste.

« Au début de la coentreprise entre BASF et INEOS, nous nous concentrions sur les synergies », raconte-t-il. « Maintenant que nous avons une structure adéquate en place, nous visons la croissance accélérée. Nous sommes présents aux quatre coins de la planète, ce qui nous permet d’avoir une connaissance locale de ce qui se passe dans le monde, 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7. C’est une période passionnante. » 

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Leaders mondiaux

DANS notre monde toujours plus dynamique et changeant, rien ne peut remplacer l’innovation. Elle est la clé pour stimuler la croissance économique, pour s’adapter aux vrais besoins du marché et ouvre la voie au véritable progrès. À mesure que la pression augmente sur les ressources, que les applications deviennent plus exigeantes et que la durabilité devient bien plus qu’un simple mot à la mode, l’innovation n’a jamais été aussi indispensable. INEOS Styrolution l’a compris. Ainsi, la société se concentre sur les clients et leurs besoins. Mais ce principe ne s’applique pas uniquement à ses activités de R&D innovantes. Elle a fondé un réseau international en matière d’innovation qui comprend des organisations telles que l’université d’État de Washington, le Fraunhofer LBF Darmstadt, la Neue Materialien Bayreuth GmbH et l’université de Bayreuth afin d’offrir les meilleures solutions aux clients et ainsi leur donner un avantage concurrentiel dans leurs marchés respectifs. Pendant près de quatre ans, elle a étroitement collaboré avec la Neue Materialien Bayreuth GmbH en Allemagne, un important site de R&D dans la science des matériaux, ainsi qu’avec l’université de Bayreuth. L’université effectue les recherches de base, la NMB étudie les procédés de production innovants et INEOS Styrolution, qui pilote le processus de recherche tout entier, est le responsable final de la production et du lancement de solutions innovantes. « C’est un partenariat extraordinaire et unique », déclare le Dr Norbert Niessner, Directeur Monde de la Recherche et du Développement chez INEOS Styrolution. « Non seulement nous avons beaucoup d’idées mais, avec nos partenaires du secteur de l’innovation, nous disposons également des ressources pour les mener à bien. » Le bénéficiaire de ce système est le client. « Habituellement, si vous travaillez dans la R&D, on a tendance à croire que vous travaillez dans une tour d’ivoire, mais ce n’est pas le cas ici », ajoute-t-il. « Nous intégrons les chercheurs de l’université de Bayreuth comme s’ils étaient nos propres salariés. Ils sont exposés à de vrais défis de la part des clients et c’est ce qui rend cette collaboration si remarquable. C’est la volonté et les cerveaux qui travaillent main dans la main afin de trouver une solution. » Selon INEOS Styrolution, on revient toujours au même objectif : faire en sorte que le client soit en tête du peloton. « Nous nous engageons à donner un avantage concurrentiel à nos clients dans leurs marchés », a affirmé le PDG  Kevin McQuade. « Si nous souhaitons leur trouver la meilleure solution, nous devons travailler main dans la main avec eux. Le réseau en matière d’innovation est gagnant-gagnant pour tout le monde. Les clients accèdent aux meilleures solutions et ressources. Les partenaires sont également ravis, car ils effectuent des recherches en vue d’une utilisation dans la vie réelle. » L’industrie automobile est notamment au centre des préoccupations d’INEOS Styrolution. Plus tôt dans l’année, la société a dévoilé, avec la NMB, une toute nouvelle solution qui offre une myriade d’opportunités à l’industrie automobile. Le produit StyLight est un composite à base de matériaux styréniques de l’entreprise qui est actuellement en phase d’évaluation par plusieurs constructeurs automobiles. « Nous attendons les premières commandes sous peu », indique Norbert. Toutefois, l’industrie automobile n’est pas la seule à profiter de la sagesse et de la matière grise des partenaires universitaires d’INEOS, ainsi que du savoir-faire et du dynamisme de l’équipe d’INEOS Styrolution. Récemment, ils ont commencé à travailler ensemble sur un projet visant à développer des solutions innovantes le recyclage du polystyrène. « Le plastique durable est un sujet primordial de nos jours », déclare Norbert. « C’est pour cela que nous tenons tant à réussir dans ce domaine. Cela pourra prendre quelques années, mais nous savons que nous en sommes capables » INEOS Styrolution se démarque par l’importance qu’elle accorde au développement de solutions, pas seulement pour que ses clients conservent une longueur d’avance sur leurs concurrents, mais aussi dans l’intérêt de la société. « Je pense que seules les sociétés qui offrent une valeur réelle à leurs clients, et j’inclus par-là la dimension durable telle que la réduction des gaz à effet de serre et la sauvegarde des ressources, conserveront leur place sur le marché », ajoute Norbert. INEOS Styrolution n’est pas la seule à être impressionnée par les partenariats qu’elle a noués au fil des ans. « La collaboration fournit des domaines de recherche axés sur l’application, qui séduisent nos étudiants et chercheurs », explique le Prof. Dr Hans-Werner Schmidt, Département de Chimie Macromoléculaire, université de Bayreuth. En collaborant à des idées innovantes destinées aux clients d’INEOS Styrolution présents dans les secteurs de l’automobile, de l’électronique, de l’électroménager, de la construction, des services de santé et du conditionnement, ils pensent pouvoir créer le styrène de demain. « Cette innovation orientée vers le client est au coeur de notre stratégie de croissance », indique Kevin. La société organise régulièrement des journées de l’innovation au cours desquelles les clients peuvent lui donner une liste de ce qu’ils souhaitent obtenir au cours des trois à cinq années suivantes. En résumé, INEOS Styrolution travaille dur pour comprendre ce que recherchent les clients afin de leur offrir un avantage concurrentiel. Tout ce que la société entreprend vise à répondre à sa stratégie dite des Trois Leviers, à savoir trois domaines qu’elle a identifiés comme étant essentiels pour contribuer à faire prospérer l’entreprise. Tout d’abord, les équipes, possédant chacune une connaissance approfondie du secteur propre à leurs clients, travaillent en collaboration étroite avec eux afin de leur offrir les meilleures solutions, qu’ils soient dans le secteur automobile ou autre. Ensuite, la société concentre ses efforts sur une production accrue et de plus grande valeur de produits spécialisés à base de styrène. Enfin, elle développe sans cesse ses activités dans des régions jugées mûres pour la croissance, telles que l’Asie. Et elle semble d’ailleurs plutôt bien partie sur cette voie. Plus tôt dans l’année, elle a conclu sa première acquisition. L’achat de la société internationale spécialisée dans les copolymères de styrène-butadiène K-Resin® (CSB), possédant un site de fabrication en Corée, a contribué à faire progresser INEOS Styrolution sur le marché asiatique en pleine expansion et à consolider sa position en tant que seul et unique fabricant de styrène d’envergure réellement mondiale. « Nous possédions déjà des sites de production de CSB en Amérique et en Europe, mais il nous manquait une usine de fabrication en Asie-Pacifique », explique Kevin. « La K-Resin a permis de combler cet espace autrefois vide sur notre carte du secteur spécialisé de CSB. » La société emploie actuellement 3 200 personnes et possède 16 usines de production ainsi que six sites de R&D répartis dans neuf pays. Tourné vers l’avenir, Kevin reste optimiste et enthousiaste. « Au début de la coentreprise entre BASF et INEOS, nous nous concentrions sur les synergies », raconte-t-il. « Maintenant que nous avons une structure adéquate en place, nous visons la croissance accélérée. Nous sommes présents aux quatre coins de la planète, ce qui nous permet d’avoir une connaissance locale de ce qui se passe dans le monde, 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7. C’est une période passionnante. » 

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Enthousiastes et prêts à relever le défi

Des diplômés engagés par INEOS pour trouver de nouvelles méthodes de travail et faire toute la différence Le temps n’est pas encore venu d’aller vivre sur une autre planète. Il faut vraiment trouver de nouvelles méthodes de travail si l’on veut que des entreprises énergivores telles qu’INEOS aient un avenir dans un monde qui change à toute vitesse. Car il n’y a pas que le climat qui change. La détermination des dirigeants de l’Union européenne à réduire les émissions et à diminuer la consommation d’énergie dans sa transition vers une économie plus sobre en carbone s’inscrit dans la même lignée. Il se peut que l’Amérique ait obtenu un sursis temporaire, grâce au président américain Donald Trump, mais l’UE souhaite réduire de 40 % les gaz à effet de serre, limiter la consommation d’énergie dans le secteur industriel et augmenter les énergies renouvelables utilisées dans son bouquet énergétique d’au moins 27 % d’ici 2030. « Nous sommes littéralement en train de nous noyer dans les objectifs »,affirme Greet Van Eetvelde, Directrice INEOS de Cleantech Initiatives. « Et un tel contexte, la compétitivité de l’industrie chimique est en jeu en Europe. » Mais le pessimisme n’a pas fait long feu. L’Union européenne a affecté des dizaines de milliards d’euros pour soutenir l’innovation dans le secteur industriel tout en tentant d’atteindre ces objectifs, et Greet pense que s’il y a quelqu’un en mesure de trouver des réponses à certains des grands défis de la société, c’est bien INEOS. « Nous sommes doués pour trouver des opportunités dans chaque défi », affirme-t-elle. « Et l’Union européenne sait qu’en offrant des mesures d’incitation et en créant des partenariats avec l’industrie, elle pourrait avoir une chance de répondre aux grands défis sociétaux. » En dehors de l’Europe, les opportunités se multiplient également pour qu’INEOS finance de nouveaux projets sur ses sites grâce à des programmes de soutien, des exonérations fiscales et des subventions destinées à l’innovation et aux investissements. « Il faut récolter de l’argent pour soutenir une économie plus sobre en carbone », a-t-elle ajouté. Greet dirige le Réseau Carbone & Énergie d’INEOS, qui partage régulièrement des informations et bonnes pratiques relatives à l’ensemble des questions concernant le carbone et l’énergie avec toutes les entreprises d’INEOS. « Le réseau prend le pouls des actualités au niveau politique et a un impact sur INEOS », ajoute-t-elle. « C’est pourquoi il constitue également un terrain propice aux initiatives novatrices et créatives pour s’attaquer aux grands défis, collaborer avec les universités et entreprendre des projets de recherche industrielle. » Greet ajoute que la créativité devait être au centre de l’économie de transition. « L’innovation est le principal moteur d’INEOS », affirme-t-elle. Et, en effet, INEOS est passé maître dans l’art de décrocher des fonds de l’UE destinés à des projets qui ne seront pas seulement utiles à l’entreprise, mais aussi à la société. « Il s’agit de repérer et de saisir chaque opportunité », explique Greet. « Bien qu’il s’agisse d’un défi de taille, c’est aussi une occasion en or pour nous de collaborer avec des universités et des étudiants. » Et c’est ce qu’INEOS est en train de faire. Plus tôt dans l’année, six diplômés ont eu la chance d’observer la façon dont fonctionne actuellement INEOS et de suggérer comment la société pourrait fonctionner dans un futur radicalement différent. « Les doctorants apporteront une valeur réelle à INEOS dans des domaines que nous n’abordons généralement pas, par manque de temps et de ressources », déclare Greet. Les diplômés se concentreront sur six domaines qui représentent de grands défis pour INEOS, dont l’efficacité énergétique, la flexibilité électrique, le captage du carbone,les ressources circulaires et la symbiose industrielle. « Nous sommes convaincus qu’ils seront à même de montrer à INEOS comment utiliser, réutiliser et recycler le carbone et les sources de déchets de façon à pouvoir en tirer parti », affirme Greet. « Ils sont susceptibles d’avoir de nouvelles idées pour l’avenir, car ils sont l’avenir. Ces idées peuvent parfois paraître folles, mais c’est ce dont nous avons besoin. Il s’agit d’une occasion unique pour eux d’être vus, entendus et pris au sérieux. Ils nous montrent la voie à prendre. » Attribution des tâches aux diplômés D’IMPORTANTES recherches sont en cours dans plusieurs usines d’INEOS. Les doctorants ou diplômés d’INEOS soulèveront des questions potentiellement difficiles et remettront en question les procédés afin de trouver de nouvelles façons de travailler plus efficacement avec moins de ressources. Sander Marchal, diplômé en commerce de Cologne, fera de la transition vers une économie circulaire sa priorité.  Sa mission consistera en partie à étudier les emballages plastiques, que l’UE souhaite réduire de 75 % d’ici 2030. « Nous produisons du plastique », déclare-t-il. « Mais mieux vaut faire partie de la solution que d’être mis à l’écart de la conversation. » Benedikt Beisheim, optimisateur d’énergie sur le site INEOS de Cologne, espère trouver des moyens d’améliorer les procédés pour économiser soit de l’énergie, soit des matières premières au sein de l’usine implantée de longue date en Allemagne. Il s’intéressera aussi au parc énergétique situé à proximité pour voir comment les gaz émis et les gaz naturels peuvent être utilisés plus efficacement en vue de produire de la vapeur et de l’électricité. Cindy Jaquet travaille avec le Réseau Carbone & Énergie à Rolle, en Suisse. Sa tâche consiste à sensibiliser les gens aux pratiques durables et à prouver aux autres que la durabilité n’est pas un objectif impossible à atteindre. « Je devais montrer au public, à nos partenaires, nos clients et nos concurrents que la durabilité peut en fait être une véritable opportunité commerciale », explique-t-elle. Jens Baetens est également un doctorant. Son projet pourrait bien aider INEOS à trouver une solution pour maintenir un approvisionnement fiable en énergie lorsque les énergies éolienne et solaire commenceront à remplacer le gaz et l’électricité.  Il se chargera d’étudier en profondeur les 10 sites d’INEOS en Belgique.  « Nous essaierons de comprendre la demande en énergie sur nos sites et quel type de résilience nous pouvons y intégrer », ajoute-t-il. Helene Cervo est une doctorante qui espère pouvoir appliquer les enseignements de la nature à un projet concernant le site INEOS de Lavéra en France.  « Tous les déchets produits par un organisme peuvent être utilisés par un autre », affirme-t-elle. « Il n’y a pas de gaspillage. »  Elle tentera de collaborer avec d’autres sociétés sur le site pour voir comment l’énergie, les matières et les services peuvent être partagés plus efficacement. Enfin, Gabby Isidro espère aider les gouvernements à comprendre les conséquences de leurs réglementations, qui régissent les émissions de CO2, sur la compétitivité européenne en leur indiquant les coûts et impacts globaux. « Avec une connaissance approfondie de notre position actuelle et future, nous sommes en mesurede prendre de décisions commerciales saines pour le long terme et d’influencer la stratégie d’investissement », poursuit-elle.

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Désormais, plus rien ne nous arrêtera

SI vous cherchez des histoires à grand succès, il suffit de regarder les visagesde ces enfants, derniers en date à avoir choisi de courir pour s’amuser avec INEOS. Ils ont parcouru les 2 km tout en s’amusant comme des fous dans l’emblématique parc olympique Queen Elizabeth de Londres au mois de juin. Parmi les partisans de la campagne d’INEOS ce jour-là, les athlètes olympiques Denise Lewis et Colin Jackson étaient présents. « GO Run For Fun a fait tellement de chemin depuis septembre 2013 »,a reconnu Colin. « La campagne a connu un tournant incroyable avec la participation de plus de 200 000 enfants originairesde sept pays différents. » Le président d’INEOS, Jim Ratcliffe, a fondé GO Run For Fun avec un objectif simple en tête : encourager les enfants à mettre la télé de côté et à sortir. Denise Lewis, qui a organisé un débat autour de l’importance d’encourager les enfants à être plus actifs et du rôle que jouent les parents, les Professueurs des écoles et le gouvernement, qualifie GO Run For Fun d’ initiative extraordinaire et amusante. « Au fil de ma vie, j’ai pratiqué le sport, mais j’ai commencé parce que c’était amusant », avoue-t-elle. « INEOS fait de l’excellent travail. » Les écoles annoncent un bon départ du projet pilote d’INEOS La campagne d’INEOS visant à améliorer la santé des nouvelles générations a conquis de nouveaux adeptes dans les salles de classe. En février, 65 écoles primaires britanniques ont été choisies pour participer à un projet pilote. « Nous voulions créer une activité amusante pour les enfants tout en véhiculant un message sérieux », déclare John Mayock. Les résultats du projet pilote sont désormais publiéset les retours des élèves et des instituteurs ont été incroyablement positifs. « C’est très encourageant », confie John. « Nous sommes actuellement en train d’analyser les résultats pour déterminer les prochaines étapes qui permettront de lancer ce programme enthousiasmant sur d’autres sites internationaux. » Dans le cadre du projet concernant le programme éducatif GO Run For Fun, deux enfants de chacune des 65 écoles ont été désignés en tant qu’Agents Spéciaux pour encourager leurs 19 500 camarades de classe à manger plus sainement et à mener une vie plus active.; Chaque semaine, les « agents » étaient chargés de guider leurs amis dans différentes missions à l’approche de la course GO Run For Fun de 2 km. « L’idée consistait à montrer aux enfants les vrais bienfaits qu’ils pouvaient tirer d’un mode de vie sain et actif », précise John. L’objectif consistait notamment à encourager les enfants à réduire le sucre et à commencer à boire plus d’eau. Les missions pouvaient être remplies pendant la récréation,le déjeuner ou les cours. « C’était important, car cela donnait de la flexibilité aux Professueurs des écoles », indique John. INEOS a décidé de lancer son programme éducatif dédié à la santé et au bien-être après avoir constaté que les écoles qui projetaient de prendre part à un événement GO Run For Fun demandaient souvent des conseils pour améliorer la forme physique des élèves et leur offrir une alimentation plus saine. Le président d’INEOS, Jim Ratcliffe, a d’abord commandé 12 courts-métrages dans lesquels apparaissait Dart, la mascotte de GO Run For Fun. Depuis, il en appelle aux Professueurs des écoles pour qu’ils poursuivent l’oeuvre entreprise en salle de classe, bien au-delà de la course. « GO Run For Fun est désormais devenu tellement plus qu’une simple course amusante », affirme John.

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Débat: Comment encourager les enfants à renoncer aux aliments sucrés ?

Le « Daily Mile » et la campagne GO Run For Fun d’INEOS réalisent une énorme avancée dans la lutte contre la mauvaise condition physique et l’obésité chez les enfants. Mais il ne s’agit que de la partie visible de l’iceberg. Les régimes alimentaires malsains et riches en sucres sont rendus responsables de l’apparition de caries et de problèmes de santé à long terme tels que les diabètes de type 2. Alors, comment encourager les enfants à renoncer aux aliments sucrés ? On peut voir que de plus en plus d’initiatives naissent pour encourager les enfants à manger aussi plus sainement. Les écoles prennent peu à peu leurs responsabilités et les grands détaillants lancent également des initiatives (par exemple, des points bonus en plus sur la carte de fidélité quand vous achetez des fruits et légumes). Là encore, le côté ludique motive les enfants et les parents pour faire les bons choix. De notre côté, nous veillons à créer des partenariats avec des « alternatives saines » pour les événements sportifs de grande envergure au sein desquels sont organisées des courses d’enfants par exemple. Ce sont des messages positifs, mais dans l’ensemble, il est bien plus difficile d’intervenir pour mettre en place un mode de vie sain au quotidien. Un changement de mentalité s’impose tout d’abord chez les parents, et cela reste toujours extrêmement problématique de nos jours, puisque les chiffres liés à l’obésité n’ont jamais été aussi élevés.Jeroen Plasman, The Energy Lab Bien que les preuves concernant l’obésité et le sucre soient extrêmement complexes, les faits parlent d’eux-mêmes pour ce qui est de l’impact du sucre sur les dents. La science est irréfutable : le sucre alimente les bactéries, lesquelles produisent de l’acide qui attaque les dents. Et les caries dentaires sont actuellement la première cause d’admission à l’hôpital chez les jeunes Britanniques. Nous avons lancé des appels à agir au plus vite afin de réduire la consommation nationale de sucre, en mettant en avant des mesures allant de la diminution des apports journaliers recommandés à des actions en matière de marketing, d’étiquetage et de taxes sur les ventes. Le débat peut être extrêmement utile pour contribuer à attirer l’attention sur la quantité de sucres dans les plats à la mode, y compris ceux commercialisés comme étant « sains », et pour encourager tout un chacun à avoir une meilleure santé buccodentaire.Graham Stokes, Président, British Dental Association Health and Science Committee Lorsque Theresa May est devenue Première ministre, elle s’est engagée à prendre soin des malades et des pauvres. Pourtant, moins de trois semaines après son élection, son précédent conseiller, Nick Timothy, avait fait des coupes significatives dans le programme anti-obésité de David Cameron, fondé sur des données probantes, en le réduisant de 37 à 13 pages, en supprimant de nombreuses politiques essentielles. J’ai donc été étonné d’entendre, après le discours de la Reine ,allégé par la PM, qu’il n’ait pas été fait mention une seule fois du renforcement du projet gouvernemental visant à endiguer l’obésité infantile, la plus grande crise de santé publique de notre époque. La santé publique est largement sous-financée, compte tenu de son rapport coût-efficacité. Il est incroyable que Theresa May puisse trouver un milliard de livres sterling pour former un gouvernement, mais soit incapable de trouver un million pour empêcher des millions de citoyens britanniques de devenir obèses ou de développer des diabètes de type 2 ou bien de l’hypertension.Graham MacGregor, Professeur de médecine cardiovasculaire, Queen Mary University of London Près d’un quart des sucres ajoutés présents dans notre alimentation provient des sodas et les jeunes âgés de 11 à 18 ans consomment 40 % de leurs sucres ajoutés en buvant ce type de boissons. Nous faisons campagne pour instaurer une taxe sur les boissons sucrées depuis de nombreuses années, car nous pensons qu’une telle taxe pourra avoir des avantages évidents en matière de santé buccodentaire. Nous nous sommes réjouis lorsque le gouvernement a annoncé qu’il allait instaurer une taxe sur les sodas à partir de 2018, mais nous souhaitons que les mesures aillent plus loin afin de couvrir une plus large gamme d’aliments et de boissons sucrés, et que les recettes générées par cette taxe soient utilisées pour financer des initiatives destinées à la santé buccodentaire des enfants.British Dental Association Les faits démontrent que modifier progressivement l’équilibre des ingrédients dans les produits quotidiens, ou modifier la taille du produit, sont des méthodes efficaces permettant d’améliorer les régimes alimentaires. La cause en est que les modifications sont universelles et ne reposent pas sur le changement de comportement des personnes. Nous sommes à la tête d’un programme large et structuré de réduction du sucre visant à supprimer le sucre des produits que les enfants mangent le plus. Tous les secteurs de l’industrie des produits alimentaires πet des boissons devront réduire la quantité globale de sucre d’au moins 20 % d’ici 2020 dans un éventail de produits qui participent à l’apport en sucre des enfants.Agence Public Health England Tenter de réduire sa consommation de sucre semble souvent être une mission impossible étant donné qu’il semble caché dans une grande variété de produits. Toutefois, nous pouvons tout de même faire de nombreux petits gestes pour réduire notre apport quotidien en sucre. Il est important d’essayer d’apporter de petits ajustements à notre alimentation et à notre mode de vie de sorte à réduire la quantité de sucre que nous consommons au quotidien. Il est intéressant de constater qu’en réalité, nos papilles gustatives se réadaptent vite à des aliments moins sucrés, et qu’une fois qu’elles s’y sont habituées, les aliments que nous avions l’habitude de manger nous semblent bien trop sucrés.Association caritative Action on Sugar Nous disposons de preuves solides attestant qu’en maintenant un apport en sucres à assimilation rapide à moins de 10 % de l’apport énergétique total, les risques de surpoids, d’obésité et de caries dentaires sont réduits. Mettre en place des changements de politique soutenant cette initiative sera essentiel si les pays veulent se montrer à la hauteur de leurs engagements en vue d’alléger le fardeau des maladies non transmissibles.Dr Francesco Branca, Directeur du Département de la Nutrition pour la santé et le développement de l’Organisation mondiale de la santé

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Tour de force d’INEOS

INEOS aime mettre ses employés au défi, pour eux-mêmes et pour les autres. Et cette année ne déroge pas à la règle. Toutefois, la société a été déconcertée elle-même par la vitesse de réponse du personnel aux quatre coins du globe lors de son tout dernier appel à la mobilisation. Cette année, à peine une semaine avant le lancement du Tour de France, des équipes comprenant jusqu’à 20 personnes ont été invitées à parcourir chaque étape de la course cycliste la plus célèbre au monde dans le cadre du tout premier Tour de France d’INEOS. « On ne s’attendait pas à avoir plus de 15 équipes », confie Fred Michel, qui a imaginé le concept avec Jeroen Plasmanet Richard Longden. Mais en une semaine, 1 000 cyclistes de plus de 40 équipes avaient parcouru plus de 300 000 km, ce qui équivaut à sept tours de la Terre à vélo. Tandis que les cyclistes professionnels se talonnaient à travers la campagne française pour remporter le titre convoité, les équipes d’INEOS casaient leurs kilomètres, avant, pendant ou après le travail. Le seul critère était que chaque membre décide du nombre de kilomètres qu’il aurait parcourus au quotidien. « L’un de nos objectifs consistait simplement à faire bouger les gens plus que d’habitude », explique Fred, qui a organisé l’événement. « En temps normal, ils n’allaient pas au travail à vélo, mais le défi les a poussés à enfourcher leur vélo et ils ont aimé ça », ajoute-t-il. « D’autres ont encouragé leur famille tout entière à sortir les vélos pendant les week-ends et, là encore, c’est quelque chose qu’ils n’auraient jamais fait avant. » Cette année, près de 15 millions de spectateurs s’étaient réunis le long du parcours du Tour de France tandis que les cyclistes se dirigeaient vers Paris et le sprint final des Champs-Élysées. Les équipes d’INEOS n’ont pas vu grand monde, à l’exception de leurs coéquipiers, même lors des dernières étapes. À l’issue du parcours, elles avaient collectivement brûlé près de deux millions de calories. Mais pour stimuler l’esprit de compétition d’INEOS, les employés pouvaient remporter des prix. L’équipe Anvers-5 a parcouru la plus grande distance, à savoir 17 481 km. « Ce qui est incroyable avec le Tour de France, c’est qu’on voit à quel point les gens peuvent se surpasser et à quel point il est important de faire partie d’une équipe, car il y a une vraie entraide qui rend plus forts », raconte Fred Michel, qui a inventé le concept avec Jeroen Plasman et la philosophie du défi. Le très convoité maillot jaune d’INEOS a été remporté par Stéphane Frigiolini, 31 ans, de Tavaux. Il a parcouru une distance totale de 3 540 km seul et en 23 jours. L Jane Kinsella, la femme ayant parcouru la plus longue distance, a raflé le maillot rose. Elle a effectué un total de 1 275 km. Sa collègue Christina Schulte a également remporté un maillot rose pour la plus grande distance en montée, à savoir 1 365 mètres. Le maillot blanc est allé à Stef Raets, le cycliste de moins de 25 ans ayant parcouru la plus grande distance avec un total de 804 km. Le Grand Prix de la montagne, réservé à l’homme au parcours le plus corsé avec la plus longue distance en montée, a été remis à Matthew Rimmer. Il a monté 2 953 mètres. Et l’équipe Grangemouth-3 a gagné le demi-sprint en équipe. Mais les vrais gagnants du défi d’INEOS sont peut-être les personnes dans le besoin. Au départ, INEOS avait promis de faire don des 1 000 livres sterling destinées à chaque équipe qui couvrait la distance sur 21 jours à une association caritative de leur choix. À la fin du défi, 1 037 personnes réunies au sein de 41 équipes avaient parcouru 324 393 km à vélo, récoltant 40 049 livres sterling en faveur d’oeuvres de bienfaisance. Voilà INEOS dans toute sa splendeur.

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Stéphane est en tête

LE Britannique Chris Froome a certes gagné le Tour de France pour la troisième année consécutive. Mais c’est un Français qui a remporté, et amplement mérité, le maillot jaune convoité du tout premier Tour de France d’INEOS. Stéphane Frigiolini, 31 ans, a parcouru une distance totale de 3 540 km, tout seul et en 23 jours, alors qu’il travaillait. Chaque jour, le technicien en informatique a fait l’aller-retour à vélo de son domicile à Offanges, Franche-Comté, à son bureau, situé 26 km plus loin, à Tavaux. Une fois rentré, il ressortait faire un tour à vélo. Pour compliqua la tâche, il a parcouru 2 775 mètres en montée. « Je devais sans doute faire 100 km par jour quand je travaillais et plus de 200 km les week-ends », admet-il. La fin du défi d’INEOS approchant, il a demandé à ses patrons chez INOVYN s’il pouvait prendre deux demi-journées de congé. « Au départ, je voulais juste parcourir autant de kilomètres que possible pour m’assurer que l’équipe de Tavaux réussirait, car relever le défi pour l’association caritative que nous avions choisie était important à mes yeux », ajoute-t-il. « Mais j’ai ensuite réalisé que j’avais une chance d’arriver premier, alors j’ai décidé de tenter le coup. Ces deux demi-journées m’ont permis d’atteindre les 3 450 km et de rester en tête. » Stéphane avait également une motivation supplémentaire, avec un de ses collègues d’INEOS à Anvers, Belgique, qui le talonnait. « Je voudrais féliciter Rudi Rutten, car il est sans cesse resté en deuxième position et cela m’a aidé à garder ma motivation », ajoute-t-il. Et pour aller de l’avant, il est allé de l’avant. « J’avais deux ou trois parcours à vélo de 200 km à mon actif ces dernières années, mais rien à voir avec ce que je viens de faire », a-t-il admis. « Mes jambes vont se souvenir de ce défi pendant un bon bout de temps. » Alors, est-il tenté de donner du fil à retordre au Britannique Chris Froome lors du prochainTour de France ? « J’adorerais ça », a-t-il répondu. « Mais je devrais m’entraîner de nombreuses années pour lui arriver à la cheville. »

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Toujours En Mouvement

L’ancien athlète olympique lance un centre de remise en forme en ligne pour contribuer à façonner l’avenir des employés d’INEOS QUELQU’UN a dit un jour que l’exercice ne changeait pas seulement le corps, mais aussi l’esprit, l’attitude et l’humeur. Peu importe l’auteur. S’il y a quelqu’un qui partage cette façon de voir les choses, c’est bien John Mayock, un ancien athlète olympique qui a contribué à lancer Energy Station, le centre de remise en forme en ligne d’INEOS. Après avoir rejoint la société il y a près d’un an, John a très vite appris que la santé et le bien-être étaient au coeur de la philosophie d’INEOS pour avoir toujours une longueur d’avance en termes de résultats et de réactivité. « Je savais qu’INEOS se passionnait pour l’amélioration de la santé des enfants à travers mon travail pour la société dans le cadre de Go Run For Fun et du « Daily Mile », explique-t-il. « Mais cette passion ne s’est clairement pas arrêtée là. » INEOS a toujours cru qu’un mode de vie sain était bon pour l’esprit, pour le corps et pour l’âme de l’ensemble de ses employés et elle fait tout son possible en ce sens. Il suffit de regarder le nouveau siège social d’INEOS à Londres, qui peut se vanter de posséder l’une des plus grandes salles de sport privées de tout le Royaume-Uni, et son nouvel immeuble de bureaux sur trois étages en Allemagne qui comprend également une salle de remise en forme. Pour INEOS, être apte au travail n’est pas simplement une question de sécurité », explique John. « C’est une question de bonne santé, de dynamisme, de dépassement et de plaisir à travailler.» Autrefois animé par le désir d’améliorer ses propres performances sur la piste, John s’est désormais fixé un autre objectif à atteindre. « Nous avons pour mission d’aider nos 17 000 employés dans le monde entier à améliorer leur santé et leur bien-être, quels que soient leur poste, leurs buts ou leur niveau de condition physique », a-t-il expliqué. Et le point de départ est l’Energy Station, créée par John et Golazo, une société fondée par l’ancien coureur de fond belge Bob Verbeeck pour qui le sport créé un monde meilleur. Une fois l’Energy Station lancée dans tout le groupe INEOS, elle deviendra en outre un point d’information pour les employés sur les courses, parcours à vélo et triathlons à venir et sur les exploits de leurs collègues aux quatre coins du monde. Les membres du personnel pourront, sur chaque site d’INEOS, enregistrer leurs performances, nouer des liens, partager leurs aventures et se défier entre eux ou eux-mêmes pour se dépasser. L’Energy Station offrira également son assistance et son savoir-faire en matière d’entraînement et de nutrition, qu’un employé souhaite marcher davantage chaque semaine ou s’entraîner pour un marathon. « Ce programme s’adresse à tout le monde », indique John. « Il n’est pas du tout élitiste. » INEOS s’est aussi associée à de célèbres marques de sport en vue de proposer du matériel de remise en forme à prix réduit, qui, à son tour, permettra de verser de l’argent aux initiatives de remise en forme de la communauté INEOS. « Nous souhaitons réunir les initiatives existantes qui sont en place dans l’ensemble du groupe INEOS et stimuler la croissance de nouveaux projets », ajoute John.

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Des diplômés se lancent dans la bataille

LES préparatifs en vue du défi IN NAM de l’année prochaine sont déjà en cours. « Tout le monde peut y participer », annonce le chef de projet, John Mayock. « Personne n’est exclu. Au total, 48 diplômés ont l’occasion de partir, mais 30 est un nombre plus réaliste. » Selon, le défi bénéficie d’un bon accueil, notamment de la part des diplômés en provenance des États-Unis. Jennifer Niblo, ingénieure de support technique des procédés, âgée de 24 ans et basée à Grangemouth en Écosse, va retourner en Namibie, mais cette fois-ci, en tant qu’ambassadrice. Son rôle consistera à conseiller, motiver et entraîner les participants du prochain groupe. « Ma mission consiste à les encourager à profiter au maximum de cette expérience qui va changer leur vie et à leur rappeler que tous les entraînements acharnés finissent par porter leurs fruits », a-t-elle indiqué. Cette expérience a eu un impact si bouleversant sur la vie de Jennifer qu’elle espère que davantage de diplômés s’inscriront et découvriront que tout est possible lorsque l’on est déterminé. « J’ai hâte d’y retourner », a-t-elle avoué. « Cela a été une occasion formidable de remettre en question ce que je pensais être capable de faire en repoussant mes limites, dans un pays aux panoramas, aux paysages et à la faune et à la flore sauvages à couper le souffle. » En rentrant au Royaume-Uni, Jennifer se sentait plus en forme et en meilleure santé. « À cette époque, il y a un an, j’étais incapable de faire deux pas en courant, mais désormais, si j’ai eu une dure journée au travail, sortir courir est une excellente façon de me changer les idées et cela me permet en général de me sentir beaucoup mieux, plus heureuse et dynamique. Je réalise aussi maintenant que les difficultés au travail n’ont pas toujours de réponse évidente. Il faut s’y coller et les résoudre pas à pas pour en venir à bout. »

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Souvenirs d’Afrique: prêts à tout

Des diplômés survivent à la chaleur du désert du Namib et se découvrent une résistance inattendue face aux difficultés de l’expédition CE fait une rude et courte leçon sur ce qui est essentiel à la vie pour quelques rares privilégiés. L’air. La nourriture. L’eau. Et un abri. Comme le soutenait le psychologue américain Abraham Maslow, il s’agit des besoins fondamentaux de chaque être humain. Une fois comblés, c’est là que nous en demandons plus. Dans notre monde moderne, nous avons et exigeons bien plus. Tout ce dont nous avons besoin est à portée de main. Nous pouvons commander nos courses depuis la salle de sport, envoyer un texto à quelqu’un qui se trouve à l’autre bout du monde et éteindrele chauffage depuis le pub, si nous le souhaitons. Alors, que se passe-t-il lorsque ces « besoins » disparaissent du jour au lendemain ? Vingt-neuf diplômés d’INEOS l’ont découvert par eux-mêmes lorsqu’ils se sont inscrits pour 350 km de course à pied, de vélo et de randonnée à travers l’impitoyable et brûlant désert africain, dans l’un des défis de consolidation d’équipe les plus rares et difficiles jamais lancés par une société. Ils ont très vite compris que ce n’étaient pas les primes qui leur regonfleraient le moral. En revanche, apercevoir une espèce rare de rhinocéros noir, profiter d’une brise rafraîchissante, admirer un spectaculaire lever de soleil depuis le sommet du massif du Brandberg, le plus haut pic de Namibie, ou apercevoir le camp de base après une longue et fatigante journée dans le désert leur a mis du baume au coeur. Les diplômés ont bien travaillé en équipe, en se soutenant les uns les autres tandis qu’ils avançaient péniblement sur le terrain difficile et accidenté. « Parfois, on se poussait ou on se tirait les uns les autres pour escalader les rochers », nous confie Gabby Isidro, un négociant en énergie et CO de 26 ans basé au bureau d’Hans Crescent d’INEOS, à Londres. Pour le président d’INEOS, Jim Ratcliffe, la missiona été accomplie. Il s’était confié à INCH peu de temps avant le départ pour la Namibie : « Ce que les gens peuvent faire et accomplir est remarquable lorsqu’ils mettent de côté leurs barrières mentales. » C’est sans doute ce que ressent Gabby aujourd’hui. « Je ne pense pas qu’on réalise réellement notre force physique et mentale tant qu’on n’est pas poussés dans nos derniers retranchements », avoue-t-elle. Gabby admet volontiers qu’elle était l’une des personnes les moins susceptibles de se porter volontaire pour cette aventure de six jours en terre inconnue. Elle n’était pas très sportive et sa mère, Julia, n’était pas enthousiaste à l’idée que sa fille participe à une course, un parcours à vélo et une randonnée dans la chaleur étouffante du désert immaculé du Namib. « J’étais en surpoids et en mauvaise condition physique et ma mère s’inquiétait pour mon poignet droit, qui est à moitié en métal et à moitié en plastique », raconte-t-elle. « J’ai été opérée cinq fois entre 18 et 22 ans et elle avait peur que toute cette chirurgie reconstructive soit réduite à néant. » Mais les critères d’inscription étaient simples : « Si vous pensez pouvoir le faire, vous êtes les bienvenus ». Et Gabby pensait qu’elle en était capable. Elle se disait aussi, se souvient-elle en souriant, que ses gènes portugais pourraient lui donner un avantage dans la chaleur cuisante par rapport à certains des diplômés au teint plus pâle. « J’étais déterminée à le faire », affirme-t-elle. « Je voulais être en bonne santé et en pleine forme. Je savais que pour le trajet à vélo, j’allais devoir porter un boîtier en titane et un bas de compression, mais cela montrait justement qu’on peut toujours trouver une solution.» L’entraînement préalable fut intense, mais essentiel. « Je voyage toutes les semaines et j’ai beaucoup de responsabilités, ce que j’apprécie beaucoup, je me souviens quand j’étais en Norvège, en Belgique et en Suisse au coeur de l’hiver, en janvier, et que j’essayais de caser mon entraînement. Cela dit, j’ai très vite amélioré ma gestion du temps et j’ai pris l’habitude de transporter mon matériel de gym avec moi partout où j’allais.» En mai, avec 28 collègues d’INEOS venus des quatre coins du monde, elle a embarqué dans un vol pour Windhoek, probablement le plus petit aéroport international au monde. Kasper Hawinkel, ingénieur de production chez INEOS Oxide, en Belgique, se souvient très bien du voyage. « Je me rappelle que j’avais quelques doutes quant à ma capacité à aller jusqu’au bout de l’aventure », avoue-t-il. « Je ne pensais pas que c’était possible de parcourir 190 km à vélo et de courir deux semi-marathons et un marathon en une semaine. J’avais tort. » Gabby était aussi assez nerveuse, mais avant de pouvoir vraiment se concentrer sur le défi qui l’attendait, elle répondait à des appels de la part de fournisseurs potentiels concernant un appel d’offres pour un contrat énergétique d’INEOS. « Chez moi, mon téléphone me suit partout, mais là-bas, il n’y a rien : ni e-mails ni ordinateurs », explique-t-elle. « Je pensais que j’aurais du mal avec ça, mais au final, ça a été un vrai plaisir de pouvoir décrocher complètement du travail et du monde extérieur en général. » Chaque diplômé pouvait emporter 15 kg de bagages. Mis à part les éléments indispensables (différentes chaussures pour courir, faire du vélo et de la randonnée), Gabby avait pris un peu de maquillage dans sa valise. Ses fers à lisser étaient par contre restés chez elle. Chaque jour offrait son lot de défis. Mais chaque jour, les diplômés s’y attaquaient de front et ensemble. « Il faut juste prendre chaque jour comme il vient », déclare Gabby. « D’une certaine façon, on ne peut pas prévoir ce qui va se passer. On est coincés dans le désert, on n’a pas le choix, et on doit aller de A à B, donc rien ne sert de se plaindre. » Mais il y avait aussi un vrai sentiment de fierté et la sensation qu’ils partageaient tous la même aventure. « C’est ce qui m’a sans aucun doute permis d’aller de l’avant », confie Kasper. « J’ai dû faire face à de nombreux moments difficiles, tant sur le plan mental que physique, mais je ne voulais pas jeter l’éponge et abandonner l’équipe. » Avant leur départ, Jill Dolan, du service des RH d’INEOS, avait envoyé un message aux diplômés en leur souhaitant bonne chance de la part de l’équipe du projet In Nam’17. « Les défis font ressortir le meilleur de chacun, car ils prouvent qu’on est capable de choses que l’on n’aurait jamais imaginé pouvoir faire », afaitffirme-t-elle. « Ces diplômés se sont également des amis pour la vie et ces liens se sont tissés dans une aventure commune, faite de défis et de réussites personnels et collectifs. » Kasper et Gabby ont confirmé que des amitiés pourla vie étaient nées. « Nous avons tous partagé cette expérience inoubliable », ajoute-t-il. Les diplômés avaient été mis en garde contre la chaleur. « En y repensant, c’était terrifiant », avoue Gabby. « Mais sur le moment, on se contente de faire face. Nous étions résolument déterminés à relever les défis quotidiens. » Le vent était aussi un fidèle compagnon, parfois insupportable. « Un jour, le vent était si fort que ça nous a pris presque trois heures pour parcourir 10 km à vélo par 47 degrés », raconte-t-elle. « C’était impitoyable. » Ce jour-là, près de la moitié de ses collègues ont dû être soignés pour des problèmes de déshydratation. Gabby a poursuivi son épreuve, avant de tomber de son vélo à 3 km du camp de base. « Au début, j’ai pensé que j’avais dû me fracturer le crâne, car je n’arrivais pas à bien voir à cause de tout le sang », explique-t-elle. « Mais il s’est avéré que même si je m’étais ouvert la tête, c’était en fait une simple blessure au front.» Cette expérience l’a transformée, notamment parce qu’elle a désormais une petite cicatrice au front. « Cela m’a permis de voir les choses avec du recul et de mieux faire face aux situations difficiles ou tendues », ajoute-t-elle. « Quand je me sens débordée au travail, je repense simplement à un obstacle rencontré lors du défi namibien, en me rappelant que nous l’avons surmonté. » Elle est également déterminée à rester en forme, même si elle est très occupée. « Je réalise maintenant qu’en étant en bonne santé, en bonne forme et dans le meilleur état physiologique possible, je serai à mêmede gérer tout ce qui se présentera sur mon chemin », affirme-t-elle. Phill Steffny, guide de safaris venant du Cap, était l’un des guides lors du voyage. « C’est une expérience époustouflante qui marque un tournant dans l’existence », commente-t-il. « Et tout le monde est revenu transformé. » Il a ajouté que la volonté et la détermination dles diplômés ont été une source d’inspiration. « Ce sont ce genre de personnes qui travaillent pour INEOS », ajoute-t-il. « Ça fait partie de leur ADN. » L’année prochaine, Phill fera partie des guides qui emmèneront les diplômés à travers le désert. « Je pense que nous sommes tous capables de choses extraordinaires », affirme-t-il. « Il se peut que vous n’ayez pas la moindre idée de comment y parvenir. Mais si vous en avez l’occasion, je ne comprends pas ce qui vous dissuaderait de le faire. » Il poursuit : « Si vous êtes tout seul là-bas, c’est une autre histoire. Mais ils formaient une équipe. Tout le monde était dans le même bateau. Une personne peut se sentir bien un jour, puis nulle le lendemain. C’est comme la vie. C’est pareil. »

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La vision d’INEOS ouvre la voie à de nouvelles possibilités en Europe

La décision révolutionnaire d’INEOS d’expédier du gaz de schiste par la mer depuis l’Amérique a ouvert la voie à de nouveaux investissements sur le sol européen. Ces matières premières à prix compétitif seront désormais utilisées dans le but d’accroître la production d’éthylène et de propylène pour les entreprises d’INEOS en Europe. La nouvelle production servira à alimenter les sociétés dérivées d’INEOS, en remplaçant l’éthylène et le propylène actuellement achetés auprès d’autres entreprises En tout, près de 2 milliards d’euros seront dépensés dans de grands et nouveaux projets pétrochimiques en Europe, la Belgique, la Norvège et l’Écosse représentant toutes des sites probables pour d’importants investissements. « Sans accès à des matières premières au coût avantageux, ces investissements ne seraient pas envisageables », a avoué Gerd Franken, PDG d’INEOS Olefins & Polymers North. Les travaux visant à étendre les craqueurs à Rafnes, Norvège,et Grangemouth, Écosse, devraient commencer en 2019 et, une fois terminés, pourraient s’élever à 900 kt en matière de capacité globale de production d’éthylène par INEOS. Outre ces investissements dans l’éthylène, INEOS envisage de faire produire 750 kt de propylène par nouveau sitede production.Anvers, en Belgique, fait notamment partie des sites envisagés. « L’utilisation de matières premières concurrentielles permettant d’accroître l’autosuffisance de nos sociétés européennes appuiera notre position en Europe et contribuera à protéger nos entreprises de la pression liée aux produits importés », explique Gerd. « Cela va s’intensifier avec de nouvelles capacités significatives qui seront disponibles aux États-Unis au cours des prochaines années. » La décision d’accroître la capacité à Grangemouth est une nouvelle particulièrement bonne pour le personnel qui, en 2013, faisait face à la perspective de fermeture définitive de l’usine d’éthylène en raison de l’amenuisement des gaz en provenance de la mer du Nord. « C’était notre seule matière première et elle était en train de s’épuiser », commente John McNally, PDG d’INEOS Olefins & Polymers UK. « Parfois, l’usine fonctionnait à 50 % de ses capacités. » Le président d’INEOS, Jim Ratcliffe, a déclaré qu’il s’agirait des premiers grands investissements dans l’industrie pétrochimique européenne depuis de nombreuses années. « Au total, ces investissements équivalent à la construction d’un nouveau craqueur d’envergure mondiale en Europe », ajoute-t-il. Pete Williams, Responsable des relations avec les investisseurs, a indiqué que les investissements, qui pourraient créer jusqu’à 100 emplois en tout, montraient qu’INEOS était engagée à conserver une base industrielle concurrentielle en Europe. INEOS produit actuellement près de 4,5 millions de tonnes d’éthylène et de propylène, les composantes essentielles de nombreux produits pétrochimiques, mais reste encore le plus grand acheteur de ces matériaux dans la région.

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Trouver une base le Industrielle : une priorité

INEOS a commencé à chercher un site pour construire ce qui, selon elle, sera le meilleur 4x4 au monde. La Grande-Bretagne est le lieu privilégié, mais la société a reçu plusieurs offres attractives en provenance des voisins européens du Royaume-Uni. « Bien que nous serions ravis qu’il s’agisse d’un véhicule britannique, il s’agit d’une opération commerciale à risque et le coeur ne peut pas prendre le dessus sur la raison », explique Tom Crotty, Directeur INEOS des Affaires Commerciales. Le président d’INEOS, Jim Ratcliffe, qui est né dans le nord de l’Angleterre, a exprimé ses inquiétudes au fil des ans au sujet de la mort lente du secteur de la production industrielle au Royaume-Uni et a souligné l’importance d’inverser cette tendance. Mais seul le temps nous dira si le Royaume-Uni s’avère être le meilleur endroit pour qu’INEOS Automotive investisse des centaines de millions de livres sterling dans la production de son Grenadier. Jim a repéré un vide sur le marché des 4x4 au début de l’année dernière lorsque Jaguar Land Rover a cessé de produireson emblématique Defender à l’usine Solihull, située dans les Midlands de l’Ouest. Dans une interview accordée au magazine INCH l’année dernière, il a indiqué que le Grenadier d’INEOS s’était inspiré du Defender sans pour autant en être une réplique. « Il est possible qu’il partage son esprit », explique-t-il. « Mais il sera grandement amélioré par rapport aux modèles précédents. » Dirk Heilmann, PDG d’INEOS Automotive, a indiqué que la recherche d’un site de production était la dernière étape d’un projet incroyablement enthousiasmant. « Nos projets concernant le véhicule sont bien avancés et le temps est venu de décider où nous allons le fabriquer », ajoute-t-il. INEOS a besoin d’un site en mesure de produire au moins 25 000 voitures par an en respectant des normes extrêmement élevées. Les sites en zone verte, les anciennes usines automobiles et même les chaînes de fabrication existantes, qui peuvent être reconfigurées pour le nouveau véhicule, seront tous envisagés. « Nous avons déjà eu des discussions de haut niveau avec le gouvernement britannique et le projet suscite un très grand intérêt auprès de certains acteurs internationaux », ajoute Tom. INEOS a déclaré que son nouveau 4x4 serait destiné aux agriculteurs, travailleurs forestiers, explorateurs, aventuriers et amateurs. « Ce doit être un véhicule tout-terrain sans compromis, qui est non seulement synonyme d’aventure, mais peut également être utilisé comme outil de travail fiable », affirme Jim. INEOS est déterminée à ce que son nouveau véhicule offre une véritable alternative à la cuvée actuelle de SUV standardisés qui sortent tous du même moule.

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INEOS continue à impressionner les marchés avec de solides performances

Les performances d’INEOS ont légèrement ralenti après un début d’année record. Au cours du premier trimestre, le Groupe avait enregistré des bénéfices (EBITDA) de €753 millions, soit €199 millions de plus par rapport à la même période de l’année précédente. Mais le deuxième trimestre, bien qu’ayant présenté une baisse de €115 millions par rapport au premier, a tout de même été impressionnant avec €638 millions, pour €570 millions à la même période de l’année précédente. John Reece, Directeur financier, déclare que le marché nord-américain avait continué à tirer avantage de sa flexibilité afin de pouvoir utiliser des matières premières meilleur marché et que l’Europe s’en sortait bien grâce à un euro qui reste faible. Il ajoute que les marchés asiatiques ont également connu une certaine solidité lors de ce trimestre. O&P North America a enregistré un EBITDA de €227 millions par rapport aux €225 millions de la même période de l’année précédente. « L’environnement commercial a été favorable pour les craqueurs américains, avec de bonnes marges et un taux élevé d’utilisation des capacités tout au long du trimestre », commente John. La demande en polymère était forte, notamment dans certains secteurs de production tels que ceux des canalisations et des grades de moulage par injection. O&P Europe a enregistré un EBITDA de €210 millions, soit une progression de €20 millions par rapport à la même période de l’année précédente. « La demande en oléfine a été solide dans un marché restreint avec des marges en haut de cycle », indique John. Le prix du butadiène a désormais chuté par rapport au niveau élevé du premier trimestre de l’année. La demande européenne en polymère était satisfaisante dans un marché équilibré, avec de solides volumes et de bonnes marges au cours du trimestre. Chemical Intermediates a enregistré un EBITDA de €201 millions, pour €155 millions à la même période de l’année précédente. « Les performances accrues de toutes les entreprises se sont poursuivies au fil du trimestre, avec une demande soutenue sur les produits, ainsi que des conditions d’offre fermes en raison des indisponibilités planifiées et imprévues des concurrents », explique John. La demande dans le commerce des oligomères a été globalement forte dans la plupart des secteurs et marchés de produits. Concernant le commerce d’oxyde, la demande s’est révélée stable, et particulièrement forte pour l’acétate d’éthyle et le butanol. Le marché se portait bien pour ce qui est du commerce de nitriles, grâce à la combinaison d’une forte demande sous-jacente, notamment en fibre acrylique, et de restrictions sur l’approvisionnement en raison de plusieurs interruptions de production. Les marchés du phénol sont restés équilibrés, avec quelques faiblesses en Europe dues à des revirements de la part des clients. John ajoute que le Groupe a également continué à se concentrer sur la gestion de la trésorerie et les liquidités, en réduisant sa dette nette de €500 millions en seulement trois mois. À la fin du mois de juin, elle s’élevait à près de €5,2 milliards.

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Le personnel d’INEOS déménage dans ses nouveaux bureaux

PRÈS de 400 employés d’INEOS Cologne, Allemagne, vont bientôt déménager. INEOS a investi environ 30 millions d’euros dans un nouvel immeuble de bureaux de trois étages, s’inspirant du « O » d’INEOS, pour rassembler tout le personnel administratif pour la première fois. « Nous considérons cet investissement comme un signe clair pour notre avenir et également comme un reflet de la grande importance qu’accorde le groupe INEOS à ce site », déclare le Dr Patrick Giefers, Directeur général commercial et Directeur d’usine. Il s’agit d’un open space, un concept relativement récent en Allemagne. « Ce n’est pas simplement un nouveau bâtiment », affirme le Dr Anne-Gret Iturriaga Abarzua, Responsable de la communication chez INEOS Cologne. « C’est aussi une nouvelle méthode de travailler, de communiquer et de passer sa journée au travail. À l’heure actuelle, si je fermais la porte de mon bureau, personne ne saurait que je suis là. » Cela va changer lorsque le personnel passera de ses bureaux individuels à son nouvel espace de travail. « Cela prendra peut-être un peu de temps pour s’habituer, mais ce sera tellement mieux », s’entousiasme Anne-Gret. Les membres du personnel pourront se voir à travers les bureaux vitrés. Toutefois, INEOS ne s’est pas contentée d’un investissement massif dans le nouveau bâtiment. La société a également dépensé des fonds afin d’étudier l’endroit idéal pour les bureaux, non seulement de sorte que les services fonctionnent bien ensemble, mais aussi que les employés soient satisfaits. Différents types de bureaux ont d’ailleurs été testés par le personnel avant que la société ne passe commande. « Ces détails sont d’une grande importance », admet Anne-Gret. « Cette façon d’organiser l’espace de travail permet aux membres du personnel de choisir s’ils souhaitent travailler à leur bureau, au coin café, à la cafétéria ou dans ce qu’INEOS a appelé les « espaces de communication.» Le personnel aura également accès à une cafétéria moderne, tenue par un nutritionniste compétent qui, le cas échéant, donnera des conseils aux employés sur l’alimentation, ainsi qu’à une salle de sport interne où ils pourront entretenir leur forme, s’ils le souhaitent. À la cérémonie d’inauguration du mois dernier, Hermann Gröhe, ministre fédéral de la Santé en Allemagne, a salué INEOS pour son engagement clair en faveur de la santé et du bien-être de son personnel. On ne sait pas encore ce que deviendront les bureaux vides. Toutefois, le nouvel immeuble de bureaux n’est qu’un des nombreux éléments d’un investissement groupé d’une valeur de 211 millions d’euros destiné au site, où un pont pour navires-citernes, une centrale et un tunnel d’approvisionnement seront construits, entre les usines situées à l’ouest et à l’est.

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INEOS attend le verdict sur les puits de gaz de schiste

La recherche d’INEOS Shale pour trouver du gaz de schiste se poursuit au Royaume-Uni. La société a désormais soumis deux demandes de permis pour forer des puits verticaux près de Sheffield de sorte à pouvoir analyser des échantillons de roche. Le Directeur des opérations, Tom Pickering, demeure convaincu que le premier puits pourrait être foré d’ici le début de l’année prochaine et estime que le public s’intéresse de plus en plus à la recherche de gaz de schiste. « Les propriétaires fonciers s’inquiètent naturellement des manifestants, mais le contexte est différent aujourd’hui », explique-t-il. « La situation a beaucoup évolué par rapport au moment où nous nous sommes engagés sur cette voie il y a trois ans et demi. L’état d’esprit a changé. Le Brexit a vraiment attiré l’attention. Les gens réalisent maintenant que l’on doit penser à la sécurité énergétique du Royaume-Uni. » Les coûts liés au forage de chaque puits pourraient s’élever à 12 millions de livres sterling. INEOS Shale détient désormais les autorisations pour chercher du gaz de schiste sur 5 000 m2 de terre au Royaume-Uni. En janvier de cette année, INEOS a augmenté sa superficie en achetant Moorland Energy, ainsi que des licences du gouvernement afin de chercher du gaz de schiste dans une zone s’étendant de Helmsley à East Ayton dans le Yorkshire de l’Est.

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Oxide prévoit d’augmenter sa production

QUELQUES mois seulement après avoir racheté 50 % des parts d’Arkema dans Oxochimie, INEOS Oxide souhaite faire grandir l’entreprise. La société envisage désormais de produire une nouvelle gamme de dérivés d’oxo, dont de l’acide éthyl-2 hexanoïque et des polyalcools, afin de compléter ses produits existants. Les alcools oxo sont principalement utilisés dans la production d’esters acryliques, d’additifs diesel, de peintures et de lubrifiants. Le site de la nouvelle usine de production a toutes les chances de se trouver sur un site principal d’INEOS à Zwijndrecht, Belgique, à Dormagen, Allemagne ou à Lavéra, France. « Il s’agit d’un projet de croissance important pour INEOS », affirme Graham Beesley, PDG. Oxochimie était une coentreprise à 50/50 entre INEOS Oxide et le groupe chimique français Arkema. INEOS a entièrement racheté la société en mars dernier.

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La demande mondiale stimule les investissements européens

INEOS Oxide va exploiter la demande mondiale continue en acétate de vinyle monomère (AVM), un produit chimique essentiel dans la production de peintures, parebrises, réservoirs de carburant, PVC et adhésifs. La société prévoit de dépenser des centaines de millions d’euros dans la construction d’une nouvelle usine sur l’un de ses sites européens intégrés, à Saltend, Hull, Cologne en Allemagne, ou à Anvers en Belgique. Le PDG, Graham Beesley, affirme qu’il s’agit d’un projet très enthousiasmant pour INEOS. « La demande en AVM en Europe croît à un rythme soutenu, mais actuellement, le marché dépend encore largement des importations en provenance de régions reculées pour répondre à ses besoins. C’est une situation peu confortable », ajoute-t-il. « Notre nouvelle usine, développée pour remédier à ce problème, nous permettra d’améliorer la fiabilité de l’approvisionnement auprès de notre clientèle. » Chacun des trois sites est déjà approvisionné en éthylène brut à l’aide d’un pipeline ou d’un terminal, et les coûts logistiques pour l’approvisionnement en acide acétique, autre matière première essentielle, sont faibles. Par ailleurs, les trois lieux envisagés sont tous très bien situés pour desservir efficacement le marché de l’acétate de vinyle.

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L’Allemagne choisie pour une nouvelle usine de cumène

C’est donc en Allemagne qu’INEOS va construire sa propre usine de cumène d’envergure mondiale et dotée des meilleures technologies. La société a pris cette décision pour répondre à la demande de ses clients et assurer un approvisionnement sûr en cumène, une matière première essentielle pour les usines de phénol et d’acétone d’INEOS situées à Gladbeck et Anvers. « Notre projet montre un engagement clair envers nos sites européens de phénol et notre entreprise », déclare Hans Casier, PDG d’INEOS Phenol. La nouvelle usine devrait être opérationnelle d’ici 2020. INEOS Phenol est le plus gros producteur au monde de phénol et d’acétone et le plus grand consommateur de cumène. La société possède et exploite déjà l’une des plus grandes usines de cumène à production continue au monde sur son site de Pasadena situé au Texas.

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